@Michel Frontere l’ignorant aveugle :
« le départ d’Alain Minc, brillantissime (...) » :
En effet tellement « brillantissime » qu’« Alain Minc a été condamné le 28 novembre 2001 par le Tribunal de grande instance de Paris à verser 100 000 francs (15 244,90 euros) à titre de dommages et intérêts pour plagiat, reproduction servile et contrefaçon, pour son ouvrage intitulé »Spinoza, un roman juif" (les journaux)
Parmi les exploits du "brillantissime Alain Minc il y a celui-ci :
« Faire de lui un chef d’entreprise ou un PDG, c’est comme confier à un sociologue la gestion d’une charcuterie », résumera De Benedetti
En 1986, Minc se met au service du « condottiere » italien Carlo de Benedetti, devenant vice-PDG de sa holding en France, (Cerus). Ils se lancent en 1988 à l’assaut de la Société générale de Belgique (SGB), essuient un échec cuisant et retentissant qui coûtera très cher à Carlo de Benedetti (...) plus de 800 millions d’euros, selon lui). Cerus ne s’en relèvera pas. Minc démissionne en 1991."
Bref, ce « Minc à gagner » comme l’a un jour surnommé « le Canard enchaîné » est une calamité que ce soit dans la finance ou dans le journalisme !
De ce même Frontere, décidément une nullité :
« Quant à Péan, (...), je lui souhaite d’avoir le courage de faire la même chose avec le groupe toxique TF1-LCI, mais à mon avis ce n’est pas dans ses cordes ... »
Non seulement c’est dans ses cordes mais il l’a réalisé : « TF1, UN POUVOIR » (Fayard, 1997), Pierre Péan et Christophe Nick"
Et on y trouve cette précision parmi beaucoup, beaucoup d’autres : « Jaffré, Colombani et Duhamel ont formé un groupe de déjeuneurs et s’assoient régulièrement à la table des ministres. Ils côtoient par ailleurs Alain Minc, administrateur du Monde et inspirateur d’Édouard Balladur » (p. 579-580.)"