Dommage en effet de rendre léger un sujet aussi grave. On peut résumer tout ça en une seule question : est que le 11 septembre est un « inside job » ou non ? Les américains commencent à penser que...oui. Dans toute l’histoire des catastrophes aériennes, on a toujours retrouvé les boîtes noires. Sous 1200 °c, à 4000 m de profondeur, on les retrouve. Là, on a 4 avions, soient 8 boîtes noires jamais retrouvées... une prouesse véritable ! Calculez donc la statistique pour que ça se produise... L’un des frères de Bush gère pendant les 4 ans qui précèdent la sécurité de 2 aéroports d’où partent les avions et la sécurité du WTC, où des travaux ont lieu tous les week-ends qui précèdent la catastrophe, pendant 2 années. Le WTC est un des plus grands crimes de l’histoire, or c’est celui où on a supprimé les preuves au plus vite : l’acier a été vendu en Inde, les débris interdits de détection au compteur Geiger. Quand on cherche un crime, les policiers vous disent : cherchez en premier le bénéficiaire. Larry Silverstein, qui avait acheté les deux tours alors que tout le monde lui déconseillait, car remplies d’amiantes jusqu’au trognon (elle auraient dû être... abattues !), touchera DEUX fois l’assurance pour chaque tour : une fois pour accident, une fois pour attaque terroriste. Le pactole complet. On peut encoe en trouver plein comme ça, de raisons de penser que c’est bien un « inside job ». C’est aussi la seule fois ou un avion heurte un immeuble à plus de 100 m de ahut et que cet immeuble s’effondre sur sa base. Mécaniquement, c’est impossible. En revanche, n’importe quel démolisseur vous dira que pour y arriver, il faut d’abord cisailler la base du bâtiment, sinon il... ne tombe pas. Ces preuves de cisaillement existent. Les preuves d’un « Inside Job » s’accumulent chaque jour. Mais on fait comme si on ne les voyait pas, ne voulant se rendre compte qu’un chef d’état a déclenché un crime contre l’humanité. Dans le seul but d’en arriver à une guerre dont il tire personnellement profit et ça aussi c’est démontré. Bref, on aurait aimé autre chose qu’une élucubration bien trop légère pour convaincre les indécis que l’on a bien affaire à un « inside job ».