Les boîtes noires présentées comme étant celle du vol 77 s’étant écrasés sur le Pentagone ont permis une reconstitution de sa trajectoire. :
http://www.youtube.com/watch?v=zCFopIFSVIs
Aucun pilote, à ce jour, n’a pu expliquer comment un débutant incapable faire un tour de piste sans instructeur avait réalisé les manœuvres d’approche. Les pilotes certifiés sur 757 les jugent très difficiles. Ces manœuvres ont fait dire au contrôleur aérien qui les a observées qu’il s’agissait d’un vol militaire.
La vidéo démontre que l’avion concerné par les boîtes noires n’a pu couper les lampadaires percutés par l’engin qui a frappé le Pentagone. La dernière image issue de l’enregistrement, à 13’37"44, présente l’avion à 60m d’altitude (180 pieds, deuxième cadran en partant du haut sur la vidéo), soit 40m au-dessus de la route et du pied des lampadaires qu’il est censé avoir percutés. Outre le fait que l’image soit probante à elle seule, la route à ce niveau est, selon Google Earth, à 20m d’altitude soit 60 pieds environ (Google Earth fournit une altitude moyenne selon les courbes de niveau). Les lampadaires situés à cet endroit ont été coupés approximativement à leur tiers supérieur. Il faudrait qu’ils aient eu une hauteur de 60 mètres en ordre de grandeur. Sacrées loupiottes, deux fois un grand phare !
D’autre part, personne ne peut expliquer le raccord manquant entre la vidéo retraçant les enregistrements de la boîte noire et la vidéo montrant les dernières secondes du vol et le crash.
À la fin de la première vidéo, la vitesse de l’avion est de 462 nœuds (237 m/sec). Il est à une distance d’environ 500 mètres du Pentagone, à deux secondes de l’impact. Il possède une assiette à piquer d’environ trois degrés, pente d’une finale d’atterrisage. Son incidence, angle formé entre l’axe horizontal de l’avion et sa trajectoire, est nulle du fait de la vitesse. S’il continue ainsi il percute le bâtiment au point d’impact. S’il passe en en vol horizontal à ce moment, comme le montre la seconde vidéo, il survole son objectif puisqu’il cesse de descendre. Dans tous les cas, qu’il continue tout droit ou qu’il se redresse, il passe au-dessus de la trace de la seconde vidéo, avec une assiette à piquer de trois degrés s’il continue jusqu’à l’impact ou au-dessus du Pentagone s’il redresse.
Voyons précisément le raccord entre les deux vidéos.
La vidéo de l’impact présente, une seconde avant l’explosion, une fumée traçant une trajectoire horizontale à environ 7m du sol du parking (hauteur de l’impact). Volant horizontalement, l’avion a nécessairement fini sa descente. Tautologie. Entre les deux vidéo, (une seconde) l’avion issu de la première vidéo aurait dû redresser au-dessous de sa trajectoire pour être en cohérence avec la seconde vidéo ! Le parking est situé encore plus bas que la route au niveau de l’échangeur (altitude Google Earth : 10 mètres). La trajectoire représentée par une fumée est à une altitude maximale de 17m, 50 pieds (sol à 30 pieds + 20 pieds du sol). Le raccord manquant entre les deux vidéos est donc de 180-50 = 130 pieds, 43 mètres. Le pilote ne dispose ni du temps ni de la place pour se positionner aussi bas. Il y a une marche à descendre ! Entre les deux positions, à la vitesse d’atterrissage (140 nœuds environ), il lui faudrait parcourir au moins les deux cents mètres qui le séparent du Pentagone pour atteindre cette altitude avec une assiette horizontale. La seconde vidéo présenterait alors un avion entrain de se redresser, pas une trace horizontale. À 460 nœuds, la manœuvre est impossible, on nage en plein délire. À moins que l’avion n’ait atteint le Pentagone avec son assiette à piquer, se soit arrêté à 7 mètres d’altitude, se soit redressé, ait fait une jolie marche arrière pour repartir horizontalement à plus de 400 nœuds pour faire comme le producteur le lui demande pour respecter le scénario. Drôlement manœuvrant pour un Bœing !
Le tracé du vol révélé par la boîte noire n’appartient pas à l’engin dissimulé par la fumée qui a frappé le Pentagone. Soit elle correspond à un avion qui a survolé le Pentagone (bon réflexe du pilote !), soit c’est un hoax. Rappelons que le pilote officiel du vol 77 était un ancien as de l’aéronavale. Tentez un appontage avec un Bœing sur un simulateur : c’est très éclairant sur la dernière seconde du vol.
À ce sujet, j’ai pourtant une hypothèse, un scoop, destiné aux fanas de la version officielle : l’avion a bénéficié de l’aide d’une soucoupe volante. C’est la fumée d’une soucoupe volante que l’on voit sur la vidéo de l’explosion ! Beaucoup de vidéos de fumées apportent la preuve irréfutable de l’existence de soucoupes volantes. Je pensais au début que l’avion avait simplement pris un ascenseur très rapide caché dans ces pylônes de 60m et appuyé sur le bouton « entresol ». Cela restait plus vraisemblable que la théorie officielle qui viole toutes les lois du pilotage, mais cela n’expliquait pas la fumée...
Plus sérieusement, l’hypothèse selon laquelle la boîte noire provient du vol d’un l’avion qui a lâché un pruneau sur le Pentagone est plausible mais reste à démontrer. Elle est cohérente avec ce que montrent les informations de la boîte noire. Certains témoins évoquent un avion qui aurait survolé le Pentagone, mais rien de vraiment probant ne permet de confirmer cette hypothèse. On est en plein brouillard. Expliquer avec certitude le crash du Pentagone relève de la chiromancie ou... de l’Ufologie.
PS : Lors d’un crash de face, les ailes d’un avion sont projetées et vrillées vers avant par leur force d’inertie. Elles ne se replient pas vers l’arrière. L’énergie pour les projeter en arrière devrait être très supérieure à leur énergie cinétique au moment du choc. Où trouver cette énergie ? Sur le bâtiment ? Les ailes pourraient rebondir sans casser les carreaux comme on veut nous le faire croire mais ensuite, comment les faire passer le trou ? Là encore, seule la complicité d’extraterrestres rend la version officielle défendable.
Bon, cette fois je sors...