Il faut faire attention à la généralisation des concepts. Ce qui est chouette pour une application bien précise n’est pas nécessairement une page tournée en informatique.
Par exemple Mac s’est planté avec ces icônes. Au début, l’icône avait l’avantage de permettre une production de masse, sans se préoccuper de la langue de l’utitilisateur. La pub comparait la facilité de branchement du câble de l’imprimante à l’arrière de la machine avec la difficulté du choix de la bonne DB25 à l’arrière d’un PC IBM, l’icône faisant la diffrérence. Au début, le Mac n’avait pas de touches numériques car lenouveau concept de la souris permettait de cliquer les chiffres sur une calculette virtuelle. Cette belle connerie n’a pas résisté au premier exercice comptable qui demande de taper 5.000 nombres en une demi-heure ou presque. Bien vite, le clavier numérique a été rajouté.
Le problème est qu’autant les icônes de l’imprimante, de la disquette, du PC et de la corbeille se passent de commentaire autant les autres sont totalement inutiles et compliquent la vie de l’utilisateur. La preuve en est qu’autant Apple que MicroSoft ont pris bien soin de toutjours mettre le nom en clair de l’icône à côté de celui-ci. On traîne ces boulets depuis 20 ans.
Une bonne dactylo tape 140 mots par minute. Avant d’en faire autant avec un écran tacile virtuel, vous pouvez vous entrainer longtemps.