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Commentaire de claude

sur Funérailles d'Anne-Lorraine Schmitt


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claude claude 3 décembre 2007 16:42

brieli67 votre inculture est crasse... et vous un rustre abject : vous ne savez respecter la mort d’une victime et le deuil de sa famille.

toute victime, catholique, musulmane, croyante ou non, pratiquante, athée, mérite que l’on respecte sa mémoire et ceux qui souffrent de leur disparition.

pratiquer la confession catholique n’est pas une tare, ni d’être scout qui demande un engagement auprès des autres. la profession de son père est honorable. cela fait « très vieille france », mais cela ne regarde qu’eux-mêmes.

même si je trouve que l’article est par trop empreint d’engagement confessionnel, je comprends l’émoi de l’auteur devant ce crime qui aurait pu être évité. le courage de cette jeune fille fut immense et le dernier visage qu’elle aura vu aura été celui de son bourreau.

je suis triste pour les parents, frères et soeurs, la famille et les amis de cette jeune fille qui laisse un trou béant dans le coeur de ceux qui l’aiment.

pour info :

la maison de d’éducation légion d’honneur n’est pas une institution catholique privée, mais une école de la république fondée par napoléon pour éduquer les enfants de ceux qui servent la france.

http://pagesperso-orange.fr/kadnax/maison.htm

Les Maisons d’Education de la Légion d’Honneur sont des établissements publics d’enseignement secondaire uniques en France qui accueillent seulement des filles dont les ascendants directs ont reçu la légion d’honneur. Depuis 1987, Les filles des membres de l’Ordre national du Mérite y sont également acceptées.

Des écoles prestigieuses Fondées par Napoléon en 1805 pour accueillir les filles des soldats tués au combat, ces écoles sont empreintes de tradition, de discipline et de prestige.

Pour pouvoir faire parti des élèves il est nécessaire d’avoir des parents, ou des grands-parents ou des arrières grands-parents titulaires de la Légion d’Honneur ou de l’ordre national du mérite. Comme les places sont limitées et les demandes nombreuses, il vaut mieux être une bonne élève pour espérer y entrer. Les filles viennent toutefois de milieux très divers, et le taux de réussite est excellent.(...)

http://www.ville-saint-denis.fr/jsp/site/Portal.jsp?page_id=90

Depuis l’institution de l’Ordre national de la Légion d’honneur le 19 mai 1802, Napoléon songeait à doter ses membres d’une aide sociale. Désirant donner une bonne éducation à leurs filles, l’empereur décide l’ouverture d’établissements publics pour leur instruction.


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