très bel article, ou encore une fois l’intelligence du cœur est présente.
très bel article, qui nous rappelle hélas, que ce genre de « fait divers » peu tous nous frapper, quelque soit nos croyance, nos gout ou notre condition.
Enfin je dis ça, mais je suis un homme, et j’aurais été épargné, par ce genre de malade. Et j’écris malade, mais je n’oublie pas que la société en elle même porte le nutriment de cette maladie.
J’avoue qu’Anne-Loraine Schmitt est très jolie (ne vous en déplaise j’écris est très jolie) autant que les mannequins fort dénudés qui peuple les images affichées dans nos rues.
Malheureusement la beauté est devenue une marchandise, et cette marchandisation livre aux plus vils instincts que chacun cache (ou révèle en lui)des personnages purs telle Anne Lorraine Schmitt.
Ah si j’avais été Bossuet, j’aurais pus écrire vanité, tout n’est que vanité. Non pas qu’Anne-Lorraine Schmitt fut vantarde, ne vous mèprenez pas sur le propos, mais bien au contraire, voilà une personne qui avait l’intelligence du corps, l’intelligence de l’esprit et l’intelligence de l’âme, voilà un personnage que ses parents avaient forgés, avec toute l’espérance, toute la bonté et toute la grandeur, qu’il y avait en eux et que le destin d’une rencontre frappe et anéanti.
Ce n’est pas Anne-Lorraine Schmitt qui est frappée. C’est toute sa famille, c’est nous tous.
Que sont meurtrier sorte de prison, ne nous apprends rien, sinon que la prison ne guérit pas de la maladie. Il faudrait soigner ce genre de malade et pour le moins les surveiller.
Mais peut-être aussi, faudrait il s’en prendre à la racine ?
A la marchandisation du corps humain.
Qu’on me comprenne bien, exposer un corps, fusse t’il joli qui plus est, n’est pas blâmable.
Ce qui l’est en revanche, c’est de donner un prix à cette exposition. Afficher un corps nu ou habillé avec le désir de vendre une chose est un crime. Car au plus profond de notre reste animal, peu s’effectuer une confusion. Un corps n’est pas à vendre. Car derrière chaque corps, il y a un esprit, et souvent, encore une âme.
Chassez les marchands du temple.
Monsieur Schmitt, je ne vous connait pas, et aucun écrit ne saura jamais remplacer votre fille, je le sais.
Sachez simplement, que quelque part quelqu’un compati. Puisse ces mots simplement absorber un peu de votre douleur, comme un buvard enlèverait une tache d’encre.
Anne-Lorraine Schmitt, il n’est pas dans mon habitude de prier, mais je jure de le faire à l’instant et dès que je passerais devant un lieu sacré, j’allumerai pour vous un cierge, puisque telles étaient vos convictions, en marque de respect pour vous, et pour vos parents.