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Commentaire de ernst

sur Sarkozy dans le piège des islamistes


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ernst 7 décembre 2007 17:04

L’embêtant avec tous ces distingo subtils, c’est qu’on ne sait pas où ça s’arrêtera. C’est le souk. Tu me pardonnes ci, je te dédouane de çà.

Vous verrez qu’un jour, à force de pardon, on finira par cracher à la gueule de nos ancêtres qui sont allés défricher un pays où ne poussait rien. Depuis l’Antiquité. Pour s’en assurer, il suffit de lire le très beau livre de Pierre Loti au Maroc. Voyages. Il est intéressant de savoir que , en 1892, (c’est pâs si vieux, ça !...)à cheval entre Tanger et Fez, il n’y avait QU’UN SEUL ARBRE. Un figuier d’ailleurs. Le cheval, c’est plus pratique quand IL N’Y A PAS DE ROUTE.La ville de Meknès rentrait ses troupeaux le soir à l’intérieur des ramparts, comme toutes les villes d’AFRIQUE DU NORD, par peur des pillages, déprédations et meurtres que commettaient les bédoins.Problèmes de banlieues, déjà, mais sans nous. Atavique ?...

Quand on attrappait un zonard, pas nous , eux, entre eux, on le mettait en prison. Au pain sec.Détail : on lui ficelait les poings dans des lanières de cuir mouillées, on attendait que les ongles poussent dans les paumes, infection, gangrène et hop !... on coupait. Des fois, on préparait le morceau pour le lui faire manger. Delicious, isn’t it ?...

Il paraît qu’ils tagaient les mosquées, les bédoins haïs de tous, mettaient le feu aux récoltes et violaient les filles aux champs.C’est Loti qui raconte.1892.

Qu’on n’essaye pas trop de renverser la vapeur avec les injustices du colonialisme.


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