« quiconque a un minimum de culture n’accusera jamais le Washinton Post de parti prix résolu. »
c’est certain, un groupe de presse de 14800 collaborateurs, qui édite 13 journaux, 4 magazines, 6 chaines hertziennes, 1 chaine du cable et une université peut se permettre de ne pas avoir de parti pris. Bien entendu, ils publieront n’importe quelle info même si elle provoque le tarissement des ressources publicitaires des sacs à pubs qui font vivre le groupe ...
Aucun parti pris donc lorsque par exemple en Novembre 2006 ils recyclent une citation tronquée et sortie de son contexte pour démontrer l’antisémitisme de Chavez.
Aucun parti pris non plus sur la couverture de l’avant-guerre d’Irak « Un déserteur décrit les progrès de la bombe atomique en Irak » , « L’Irak cherche à acheter de l’uranium Nigérien ». Tellement impartial que suite à cela, le rédac chef (Steve Coll) a démissioné de son poste (en Aout 2004) après un article du WP pour s’excuser ... du parti pris du journal sur le sujet de l’Irak.
« Ainsi que l’indique Wikipédia »
ah, si Wikipédia le dit, c’est que ça doit être vrai !
« les révélations sur le scandale du Watergate »
dont on sait maintenant qu’il s’agissait d’une fuite organisée du FBI, et absolument pas d’une enquête à l’initiative du WP.
« ont démontré que le Washington Post vivait selon certains principes. »
Le gouvernement, tu ménageras, les publicitaires, tu vénèreras.
« Ce journal, c’est du sérieux, c’est du lourd ! »
du très lourd !