je reviens sur cette page plus d’une année après et je tiens à m’excuser du ton de mon premier commentaire. Non pas que je ne penses plus ce qui y est dit, mais que la manière dont je l’ai fait ne me semble pas apropriée aujourd’hui, vous ne méritiez pas un ton aussi vindicatif... des fois je me trouve bien aberrant... et je vous remercie pour votre nature généreuse qui cmprend que parfois on s’emporte justement parce qu’on a quelque chose d’important à dire.
je voudrais faire ici une digression, car je me lamente de la complication extrême dans laquelle les théologiens nous ont entraîné sans avoir à envier grand chose à la complexité du sanhédrin du temps de Jesus.
Dieu le père est l’amour-même, c’est bien le message basique que jesus nous a transmis. Comme il est doux et plein de miséricorde son esprit est simple afin que quiconque puisse le comprendre.
Si nous nous souvenons de celà nous comprenons qe Jesus ait dit « je suis la voie, nul ne va au père que par moi » nul ne retourne donc au coeur des mondes sans passer par l’amour et dans l’nique but de renouer et de retrouver l’amour bâtisseur, ici-bas tisseur.
Par la sagesse du Cristos, de la conscience solaire, voilà ce que n’importe qui est capable de comprendre : puisque Dieu est Amour il ne condamne jamais et laisse les portes de la miséricorde toujours ouvertes puisqu’elles sont l’origine-même du flux de vie qui nourrit les vivants. Mais vous aviez raison de dire que si nous pouvons invoquer la bonté dans le temple elle est déjà le temple et donc plus que l’invitée l’hôtesse. Bien sûr, en invoquant l’amour et les six autres forces de Dieu qui forment la roue des couleurs autour de la lumière originelle c’est notre propre conscience que nous affermissons, l’amour créateur n’a pas besoin de ce renouvellement, il l’est déjà.
Mais pourquoi diable avons-nous tant compliqué les choses au point que la plupart se sentent indignes de se sentir en accord avec la source divine ? Car dans les velléités de dominer les autres voilà qu’on leur enfonça dans la tête que Dieu n’avait pas le temps de s’occuper de leur misérable personne...
et ce furent autant de traumatismes qui nous amènent encore aujourd’hui à chercher notre propre destruction.
Mais si les conclusions étaient aussi simples à comprendre, que chaque aom tenant à résider dans la bonté soit simplement sauvé par l’expression-même de cette bonté, ici et maintenant et que cette porte des bontés est si petite qu’en rage nous ne parvenons pas à la franchir, voilà qui signifierait la grandeur du seigneur, sa grande compassion bafouée par des avides de pouvoir, les violents (c’est à dire bien ceux qui n’écoutent jamais aucun messager de bonté) en tous les siècles.
soyez remercié pour la portée de vos questionnements.