Saperlipopette !
j’ai oublié un point crucial : actuellement, dans le monde de l’entreprise, en France, on tutoie de plus en plus, y compris ses supérieurs hiérarchiques, en raison d’un procédé testé avec succès outre-atlantique.
En effet, il apparaitrai mettre moins de distance, déjà dans le langage, entre le patron et son employé permettrait de simplifier la discussion au sein de l’entreprise. Dans les faits, c’est que ça simplifie le licenciement aux Etats-Unis, et en France que ça implique(rait) davantage l’employée dans la réussite de l’entreprise.
Mais ce tutoiement généralisé doit être l’expression d’un viol de la liberté du travailleur à être vouvoyé, et du patron à tondre la laine sur le dos de ses moutons (qu’il n’a certes pas gardé avec eux, et puis tondre la laine sur le dos des hamsters, c’est plus dur), il faut donc se révolter !
Camarades, camarades, révoltez vous pour qu’on reprenne le vouvoiement de la classe laborieuse spoliée de son respect et violée dans son infériorité linguistique menacée !
Patronnes, patrons, actionnaires, actionnaires, réactionnez-vous pour casser cette chienlit qui fait que les gueux et les pouilleux violent ce qui est votre privilège par le sa... par l’argent, et se snete vos égaux en vous tutoyant !
Bref, c’est clair maintenant, je reconnais ma défaite, le tutoiement est un viol infâme, et il faudrait punir les tutoyeurs aussi durement que les violeurs, voire plus durement, car ils sotn des criminels multi-récidivistes...