LA NON-INNOCUITÉ DES VACCINS : UN MYTHE
Différents essais réalisés aux usa et contrôlés par ordinateur ont fait apparaître que des virus et rétrovirus présents dans un organisme humain peuvent y demeurer à l’état latent ou défectif, c’est-à-dire en ne s’exprimant pas. Tout virus inoculé fait de même. Mais si certains événements biologiques se produisent entraînant un changement de terrain, ou si le terrain du vacciné se trouve déprimé au plan immunitaire, ce virus peut retrouver sa virulence initiale. En fait, toute modification biochimique d’un organisme peut entraîner un retour à la virulence du virus inoculé ou permettre une recombinaison génétique avec un autre virus présent dans l’organisme mais qui ne se manifestait pas dans la mesure où s’était établi un état d’équilibre, de symbiose biologique. Me référant à des expériences qui se sont déroulées au département de microbiologie de l’Université de Californie à Los Angeles en 1986, je puis affirmer que deux virus non virulent peuvent devenir virulents, c’est-à -dire léthaux [meurtriers ; qui tuent], par recombinaison spontanées, in vivo dans un organisme vivant. Toutefois, point n’est besoin de procéder à une recombinaison entre deux virus ou rétrovirus affectant des espèces différents pour obtenir un super-virus ou rétrovirus.
L’expérience que je relate ci-après donne à réfléchir. Deux virus pathogènes, mais non léthaux pris séparément, sont susceptibles de provoquer une affection mortelle (pour les animaux) en se recombinant par eux-mêmes, sans manipulation génétique exécutée par l’homme. On savait que l’infection d’un animal par un virus virulent est capable de provoquer une maladie caractérisée. Mais on n’avait jamais démontré in vivo que l’inoculation de virus non virulents pouvait provoquer une maladie par le biais du phénomène de complémentation ou de recombinaison. En 1986, une équipe de recherche américaine [étatsunienne] a utilisé deux souches de virus herpès simplex type 1 et les a inoculées à des souris American science, 7 novembre 1986). 62% des animaux qui reçurent un mélange à concentration égale des deux espèces virales décédèrent. Par contre, les souris qui reçurent une injection similaire ou 100 fois plus concentrée de chacun des agents viraux pris séparément survécurent toutes. En considérant un lot de 20 souris mortes après l’injection du mélange viral des deux souches non virulentes, 14 virus furent isolés. Onze d’entre eux se révélèrent être des recombinaisons. Trois de ces recombinaisons réinjectés à des souris se montrèrent mortels. De semblables résultats prouvent que deux variants non virulents d’herpès simplex peuvent interagir in vivo et engendrer des recombinaisons virulents et léthaux [mortels].
[Imaginez donc ce que peuvent faire tout une série de vaccins différents qu’on inocule aux enfants et aux adultes ???]
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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 144 à 145Extrait 4
La conclusion semble évidente. Il apparaît en premier lieu que le transfert d’un virus d’une espèce à une autre représente un danger pour le receveur et en second, que deux virus possèdent la capacité de se recombiner in vivo, c’est-à-dire de créer une souche nouvelle non seulement pathogène mais léthale. Dans le cadre de cette conclusion objective, on peut alors se poser la question de savoir si la vaccination tant prônée ne représente pas un sérieux danger pour la santé publique. En effet, il semble évident à tout biologiste que l’organisme humain, animal ou végétal constitue une entité, un monde clos qui doit demeurer vierge de toute pollution tout au long de son existence si l’on veut qu’il survive dans des conditions idéales de fonctionnement et d’homéostasie. Le système immunitaire des êtres vivants est là pour le prouver : il intervient vigoureusement pour le défendre contre toute agression étrangère. En cas de déficience de ce système, c’est la maladie et la mort. Or, on peut se demander si, de nos jours, l’organisme humain est vierge de toute pollution, de pollution virale en particulier... La réponse est évidente : depuis la pratique générale des vaccinations, il ne l’est certainement pas.
Même atténué, un virus peut reprendre sa virulence in vivo. C’est le cas du virus polio vaccinal qui redevient pathogène après passage dans l’intestin et qui contribue ainsi à contaminer l’entourage. Une étude menée par l’OMS dans huit pays, de 1970 à 1974, montre que sur 360 cas de polio paralytique, 144 se sont produit chez des contacts de vaccinés et qu’aux États-Unis, en 1982 et 1983, tous les cas de poliomyélite rapportés ont été associés aux vaccins. En outre, les vaccins antipolio ont été produits sur reins de singes contaminés par le virus cancérogène SV 40, inoffensif pour le singe mais tumoral pour l’homme. Ce qui expliquerait l’explosion de cancers dans le monde depuis 30 ans. Ainsi, sans le savoir, l’homme avait déjà créé une arme redoutable mettant en péril la planète, ceci au nom de principes prophylactiques absurdes.
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Vaccination : erreur médicale du siècle ; par Dr. Louis de Brouwer m.d. ; Éd. Louise Courteau 1997. pages 134 à 138Extrait 5
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