@JCmoreau ou encore « Max la menace »...
« Ceci étant dit, je me permets de revenir sur les questions de fond, auxquelles vos invectives n’ont su apporter aucune réponse. »
Et en plus vous ne savez pas lire, décidément... On va la refaire en espérant que vous ayez placé votre cerveau en mode veille ouverte...
« Tout d’abord, ce qui m’amène à considérer que les révélations de M. Dasquié sont assez bégnines tient au laps de temps relativement long entre la divulgation des infos en question et l’action effective de la DST. »
C’est pas possible, vous faîtes exprès, vous me parlez d’activité « chronophage » mais là, c’est de l’ordre de la mission humanitaire que je vais prendre le temps de vous répondre, je ne peux pas vous laisser dans un état pareil, c’est de la non assistance... Poussez la réflexion, vous y êtes presque ! Je vous répète que Dasquié est INSTRUMENTALISE depuis longtemps... Compris ? Ca tourne la haut ou quoi ? Je la refais ? ON SE SERVAIT DE LUI ! Et c’est vous qui me parlez de « perte de temps », pour vous en faire gagner, arrêter de vous demander pourquoi tout ce temps il a pu faire commerce de ces documents librement. Réfléchissez : Pourquoi on l’a laissé vendre ces documents, sur le web, sans qu’il soit inquiété ? Pour moi elle est là la question, pas de savoir si telle ou telle procédure a été engagée ou non.
« Ensuite, les documents [...] à la source de ces informations. »
Mais pourquoi ce long et inutile paragraphe à part par sadisme démesuré ? Si la tentative était de vous donner un style, vous êtes passé à coté.
« Sur la question de l’existence d’une enquête interne ou d’une plainte en diffamation. »
Parce que le proc, ou encore le pape, un kilo de banane, une savonnette, un chiffon, un épi de maïs, un raton laveur ou n’importe qui d’autre en ont absolument rien à secouer de Dasquié. Comme je l’explique précédemment (et je commence sérieusement à me poser des questions quant à votre capacité à comprendre quoi que ce soit à part la lecture d’un livre Rouge de chez Dalloz) une des hypothèses, à mon sens la plus probable, c’est qu’il ait été utilisé pour mettre la pression aux plus bavards. A partir du moment où il le piège a donné un résultat probant et qu’il est rentré chez lui... qu’est ce que les agents, le proc ou un autre en ont affaire de lui ?
« Dans le cas contraire, je me verrais dans l’obligation de troquer mes si confortables « culottes courtes » pour un austère costume de plaignant. J’ose donc espérer que votre temps est aussi précieux que le mien, et que vous saurez entendre mon invitation, nous épargnant ainsi à tous deux les lourdeurs procédurales d’un procès pour injure publique, activité extrêmement « chronophage » et qui plus toujours relativement onéreuse. »
Alors ça, j’adore. Onéreuse pour vous Monsieur JC. A quoi bon monter sur votre code de procédure pour essayer en vain de me mettre la pression... ? Mais surtout, quelle belle preuve de conscience juridique vous nous faîtes là en direct et en public (voyez chers lecteurs où part l’argent de vos impôts...), comme ci les tribunaux n’étaient pas assez surchargés... Et tout ceci pour que Monsieur touche son maigre euro symbolique (envoyez moi votre adresse, je vous ferai parvenir 2 enveloppes timbrées), et la gloire de me savoir privé d’Agora pour 6 mois... Et vous vous prétendez juriste... Quelle conscience ! Pathétique, tout autant que votre misérable et schyzophrénique tentative d’intimidation par le bas. Vous utilisez la « menace » que tous les autres dénoncent un peu plus haut (pourvu que Paul Amar m’invite pour en parler...) Votre respect, votre distance, et votre drôlissime « costume de plaignant » vous savez maintenant ce que j’en pense et de surcroît quoi en faire... Et si vous ne souhaitez plus « converser » avec moi car mon ton franc et sans langue de bois frôle votre pauvre sensibilité, vous pouvez vous abstenir, je ne vous force à rien et ça me fera des vacances.
Principe général : Dans la vie (comme dans le droit d’ailleurs...) on n’a pas toujours des réponses à des questions, à croire que pour vous ceci est vital. Permettez-moi ainsi de rajouter à suivre une définition, base de mon propos précédent :
« Une hypothèse est une proposition ou une explication que l’on se contente d’énoncer sans prendre position sur sa véracité, c’est-à-dire sans l’affirmer ou la nier. Une fois énoncée, une hypothèse peut être étudiée, confrontée, utilisée, discutée ou traitée de toute autre façon jugée nécessaire, par exemple dans le cadre d’une démarche expérimentale. Une hypothèse destinée à être travaillée ou vérifiée est désignée par l’expression « hypothèse de travail » ; au contraire, une hypothèse utilisée sans intention de la vérifier (pour des raisons sentimentales, religieuses ou politiques par exemple) constitue un postulat. »
Au plaisir de vous relire, c’est tellement drôle...