ça à le mérite de remettre à l’ordre du jour une vision plus conforme que celle que celle de « lutte des places » de Vincent de Gaulejac, parceque globalement la « lutte des places » c’est « la lutte des classes », la classe émergentes étant sans doute celle des exclus du travail « sécurisé » : intérimaires, vacataires, intermittents, travailleurs pauvres... les outsiders, qui payent cher, pour la sécurité des « insiders » qui partent au sport d’hiver. Effectivement, pour ceux là, (les outsiders) la « conscience de classe » est absente, forcément puisqu’il sont dans des zones dites de « transition ». Si il faut une conscience de classe et l’engagement dans une lutte pour ses intérêts pour faire une classe alors les outsiders n’en sont pas une, si il suffit d’un vécu commun alors on peut les considérer comme un groupe social, mais sans identité réelle, sans collectif (ou très peu), sans moyen de se faire entendre. Une « non-place » ne garantie semble-t-il aucune appartenance.