Stéphanemot : « si censure il y a, on en garde la trace. »
C’est faux. Quand un « adminitrateur » anonyme diffame de manière manifeste (cela arrive très souvent), sa contribution est supprimée de la page en question au bout de quelques jours (parfois plusieurs semaines) et l’historique est ensuite purgé. Il n’y a alors plus aucune trace et l’administrateur-délinquant peut alors s’attaquer à d’autres internautes. Les internautes ne sont pas égaux en droit sur wikipédia. Il n’y a sur wikipédia ni droit ni politique éditoriale, c’est le royaume de petits cyber-shérifs anonymes (une centaine d’étudiants et lycéens) qui confondent projet encyclopédique et jeu vidéo en ligne et qui exploitent (afin de maintenir leur terrain de jeu) des milliers d’internautes qui sont attirés par la culture et piègés dans cette toile wikipédia. Tous ceux qui tiennent à la qualité des articles quittent très rapidement wikipédia.
Le concept d’encyclopédie collaborative en ligne est superbe mais la gestion actuelle de l’équipe d’administrateurs est très perverse. Le bouclier « nous sommes une encyclopédie gratuite, généreuse » ne doit pas faire oublier cette triste réalité.
Enfin, on peut s’interroger sur la manière dont son gèrés les dons destinés à wikimédia :
http://www.informaticien.be/news_item-4133-La_COO_de_Wikimedia_etait_une_criminelle_en_puissance.html
Le projet Knol de Google est très bienvenu.