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Commentaire de Aline

sur Vaccination : la systématisation devient possible


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Aline 27 décembre 2007 10:31

DEPUIS PLUS DE 200 ANS, DES MEDECINS, DES SCIENTIFIQUES, DES CHERCHEURS DENONCENT LE CARACTERE NON SCIENTIFIQUE DES VACCINATIONS, AINSI QUE L’OBLIGATION VACCINALE

1794 -1800 - « Au XVIIIème siècle, par exemple, la mortalité était devenue si formidable, si effrayante, dans toute l’Europe qui avait adopté les pratiques vaccinales, qu’un cri universel de réprobation s’éleva contre ces coutumes, et que les gouvernements de Suède, de Prusse et d’Angleterre firent défense absolue d’inoculer la variole par la lancette, par les linges d’enfants, ou par les vaccins et peaux de brebis. Cela se passait de 1794 à 1800.(1)

- En 1810 « The London Medical Observer » Vol. VI, 1810 publie l’histoire de 535 cas de variole après vaccination (E.McBean, 1957). En 1834, la loi rend la vaccination obligatoire en Prusse. La population est pratiquement vaccinée à 100%. Après 35 ans de vaccination obligatoire, une épidémie de variole entraîne le décès de 124.978 citoyens Prusses vaccinés et revaccinés ( Dr Hadwen W. M.D. Médaille d’Or de Médecine et de chirurgie.)- http://www.whale.to/v/hadwen.html)

« Les échecs qui se multipliaient un peu partout suscitèrent les Congrès Internationaux de Médecins d’Eisenach (1872), de Paris (1880),de Cologne (1882), Berne (1883) et de Charleroi (1885) réunissant des praticiens du monde entier dénonçant le « caractère anti-scientifique », « la dégradante superstition scientifique,« la pratique superstitieuse » de la vaccination . « Nous sommes pris dans les filets d’une bévue gigantesque. Nous sommes les dupes d’un immense imposture » (1) Résumant les conclusions du Congrès de Cologne (1882), le Dr Haugton de Londres n’hésitait pas à déclarer : « Au nom de l’humanité, nous protestons contre cette corruption du sang de générations entières... » (1)

1872 - 1885

« Au Congrès de Charleroi (1885), le Dr VOGT exposa les péripéties de la lutte provoquée en Suisse par les antivaccinateurs contre la loi qui rendait cette pratique obligatoire, loi qui fut rejetée à une immense majorité, malgré les intrigues du corps médical de certains cantons de la Suisse Française, encore imbus des préjugés de l’Ecole de Pasteur... « Les données et les acquisitions de la médecine sont trop variables et trop aléatoires, pour que l’autorité civile se permette de trancher les questions controversées, et de contraindre les citoyens à adopter les solutions provisoires qu’elle préfère. » (Dr Vogt, 1885), (1)

Au même Congrès de Charleroi (1885), le Dr Hubert BOENS déclarait : « , Oui, il y a des antivaccinateurs, il y en a toujours eu ; il y en aura aussi longtemps que les gouvernements et les administrations locales n’auront pas résolument déclaré que la vaccine, comme la saignée, comme toute médication thérapeutique, palliative ou préventive, qui s’adresse à l’individu exclusivement, doit être absolument libre et indépendante des caprices de la Faculté et de l’arbitraire des gouvernements....Les inoculations cholériques de Ferran, comme toutes les vaccinations imaginées par M. Pasteur, comme la vaccine de Jenner, ne sont que d’abominables mystifications hygiéniques qui ont déconsidéré la science et la pratique de l’art de guérir en décimant l’humanité pour enrichir les vaccinateurs ! »

Toujours au même Congrès de Charleroi (1885), M. William Tebb évoque la pétition au Reichstag partie de la grande ville de Cologne et signée par 10.000 citoyens réclamant l’abolition de la tyrannie vaccinale imposée par la loi. Il évoque la devise belge de l’époque : « Ni les amendes, ni la prison ne peuvent empêcher la vaccine d’être un poison, et les lois de la vaccination une infamie ». - M. le Comte Zedwitz déclarera ensuite : « quant à moi, malgré que je me croie tenu par ma position, de donner l’exemple du respect des lois, je n’ai jamais pu m’empêcher de faire entendre les plus vives protestations contre la doctrine de l’intervention de l’Etat en matière médicale. L’Etat n’a pas le droit de contraindre qui que ce soit, directement ou indirectement, à subir contre sa volonté l’opération vaccinale ou toute autre pratique médicale... Si l’Etat s’arroge ce droit, il se rend coupable d’injustifiables abus d’autorité...L’Etat n’a pas plus le droit de forcer les citoyens à accepter ses médecins et leurs doctrines que ses prêtres et leurs dogmes... Je suis peiné de ce que les gouvernements se laissent persuader qu’ils doivent être les serviteurs soumis et obéissants de la science médicale, si variable encore et toujours incertaine, et qu’ils ne peuvent refuser de prêter leur concours autoritaire à ses prescriptions charlatanesques et arrogantes. » (1885), (1)

Peu avant, en 1872 au Congrès des médecins d’Eisenach, le Conseiller de médecine Flinzer déclarait : « Comprenez-vous l’infamie d’une loi, disant à nous médecins : « Nous t’obligeons contre tes convictions scientifiques et contre les expériences contraires que tu as faites, à vacciner tes enfants. Tu n’as pas foi dans la vaccine, tu sais qu’elle peut tuer tes enfants ou les rendre infirmes, malsains, idiots, débiles ; et nous te forçons d’obéir, quand même tu voudrais courir le risque de payer les amendes une fois, deux fois, trois fois, et d’aller en prison !... » (1)

« La superstition greffée sur la peur entretient ainsi la pratique la plus inhumaine « qu’un cerveau humain ait imaginée depuis l’origine de la civilisation... Nous « sommes les dupes d’une des plus immenses impostures. » 4 ème Congrès International des Médecins, Charleroi, 26,27 et 28 juillet 1885. (1)

« Où reste l’intégrité de la personne ? Où reste le respect de l’individu, la dignité de l’esprit, la science, en face de doctrines obligatoires et infaillibles assorties de sanctions pénales ? Tout cela sent étrangement le totalitarisme. » Maître Frédéric HOFFET, Avocat au barreau de Strasbourg

1954 Les précisions catégoriques de S.S. Pie XII représentent une condamnation sans appel des vaccinations obligatoires. Au cours de l’audience accordée aux médecins ayant participé au huitième Congrès de l’Association Médicale Mondiale à Rome, le 30 septembre 1954 , Pie XII déclare :

« L’homme dans son être personnel, n’est pas ordonné en fin de compte à l’utilité de la société, mais au contraire, la communauté est là pour l’ homme... L’autorité publique détient sans doute une autorité directe et le droit de poser des exigences à l’activité des parties, MAIS EN AUCUN CAS ELLE NE PEUT DISPOSER DIRECTEMENT DE SON ETRE PHYSIQUE. Aussi, toute atteinte directe à son essence constitue un abus de compétence de l’autorité...QUANT A L’INTERET DU PATIENT, LE MEDECIN N’A PAS PLUS DE DROIT A INTERVENIR QUE LE PATIENT NE LUI EN CONCEDE ...Comme l’Etat ne détient pas ce droit direct de disposition, il ne peut donc pas le communiquer au médecin POUR QUELQUE MOTIF OU BUT QUE CE SOIT ». (2) Cette dernière précision, catégorique et absolue, semble bien être la condamnation sans appel des vaccinations obligatoires.

1990

Les programmes de vaccinations obligatoires constituent “une violation du Code de Nuremberg en ce sens qu’ils contraignent les individus à subir des traitements médicaux contre leur volonté ou à participer à ce qui pourrait être une vaste expérimentation sans consentement pleinement éclairé. » Dr Jane Orient, M.D.

L’historien de la médecine, Harris L. COULTER, écrit en 1990 : « Nous estimons que 1000 bébés au minimum meurent chaque année de ce vaccin (DPT), alors que 12.000 enfants deviennent des handicapés à vie. H. Coulter ajoute : nos chiffres n’ont jamais été contestés par l’establishment médical...Ce programme se poursuit tous les jours, des centaines de bébés en parfaite santé sont ainsi transformés en êtres déficients : retardés mentaux, aveugles, sourds, épileptiques, infirmes, instables, futurs délinquants, criminels avérés. Tout ceci peut paraître terriblement exagéré ; il s’agit cependant de conclusions tout à fait sérieuses et modérées essentiellement basées sur les preuves accumulées dans les pages qui suivent... Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave... ...Si quelqu’ ennemi étranger avait infligé pareils dégâts au pays, une déclaration de guerre s’en serait immédiatement suivie... » (445 références bibliographiques ) . - L’historien poursuit : « QU’EST-CE LA POUR UNE « SCIENCE » QUI INFLIGE DES DEGATS NEUROLOGIQUES A PLUSIEURS CENTAINES DE MILLIERS D’ENFANTS CHAQUE ANNEE ? Il précise : Aujourd’hui, la société paye un lourd tribut en maladies et décès pour le monopole qui fut accordé à la profession médicale dans les années 1920. En fait, la situation ressemble singulièrement à celle de 1830, époque à laquelle les médecins avaient recours à la saignée, aux médicaments mercuriels et à la quinine, bien qu’ils en connaissaient le caractère intrinsèquement nocif. Ce sont précisément les mêmes arguments qui furent employés pour défendre ces thérapeutiques qui sont repris aujourd’hui : les bénéfices l’emportent sur les risques." H. Coulter ( 1990 ) (3)

« Comment la relation-bénéfices/risques pourrait-elle être établie scientifiquement alors qu’il existe une sous-déclaration considérable des acccidents post-vaccinaux, que les vaccins n’ont jamais été testés quant à leurs potenteils cancérogène, mutagène et tératogène et que les conséquences à long terme des vaccinations n’ont jamais été étudiées ? » R. H.- « Les vaccinations en question ». Débat au Parlement Européen, 2002

« Jamais aucune preuve crédible n’a été apportée de l’efficacité de la pratique vaccinale. On a falsifié l’histoire pour faire concorder la récession des épidémies et l’introduction des vaccinations. On a interprété unilatéralement les phénomènes, on a effacé les échecs et les conséquences troublantes ; on a négligé les facteurs sociaux et hygiéniques, déterminants dans l’éradication des ma ladies pour proclamer haut et fort les mérites de la vaccination. Oui, ainsi a-t-on agi ! Or, est-ce de cette façon que l’on prouve ? Où sont la rigueur et l’honnêteté scientifiques ? Mais qui parle de prouver ? Il ne s’agit pas de prouver : il faut faire croire ! » J.LARDY : La griffe du loup-garou,1997. « Alors que je travaillais dans un des plus anciens centres allemands pour les maladies respiratoires, Je tombai par hasard sur les dossiers des personnes qui étaient tombées malades au cours de la première épidémie de variole en Allemagne en 1947 ... On nous avait toujours dit que la vaccination antivariolique protégeait contre la variole. Maintenant, je pouvais vérifier, grâce aux dossiers et aux rapports, que ceux qui étaient tombés malades avaient bel et bien été vaccinés. Cette découverte me bouleversa. » Dr G.BUCHWALD, M.D.

Au cours du Colloque organisé le 5 avril 2002 au PARLEMENT EUROPEEN « Les vaccinations en question » , le Pr. Bonnie DUNBAR (USA), Professeur de biologie moléculaire et cellulaire au Baylor College de Houston et expert en matière de vaccinations devait déclarer : « ... Bien que des milliards de dollars aient été dépensés pour développer ces vaccins, on notera que virtuellement aucun budget n’a été débloqué pour étudier les manifestations post-vaccinales indésirables : il y a donc de quoi s’inquiéter... En synthèse, il apparaît que nous ne disposons pas de données scientifiques et cliniques suffisantes pour évaluer la sécurité ou l’efficacité des vaccins. Tant que des études moléculaires rigoureuses et des recherches épidémiologiques ne seront pas menées à bien, il sera impossible d’évaluer les risques et les bénéfices de la plupart des vaccins. »

2002

Extrait de l’intervention du Député Européen Paul Lannoye au Colloque organisé le 05 avril 2002 au Parlement Européen à Bruxelles :

La Commission Européenne a initié le projet EUVAX chargé d’établir un état des lieux comparatif des politiques d’immunisation au sein de l’Union Européenne... L’étude EUVAX constate notamment que les Etats membres n’ont pas défini formellement leurs programmes d’immunisation et que la promotion de l’immunisation vaccinale n’est pas basée sur une approche scientifique dans l’Union Européenne, sauf au Royaume-Uni. En outre , les schémas d’immunisation diffèrent largement d’un pays à l’autre, l’exemple de la vaccination anti-polio étant très révélateur à cet égard. Les contre-indications générales varient elles aussi d’un pays à l’autre, sans aucune base scientifique pour les justifier. En ce qui concerne la sécurité des vaccins (vaccine safety), la situation est particulièrement préoccupante.

(Les vaccinations en question Ed. Frison-Roche, 2003.)

BENEFICES/RISQUES

« Les accidents causés par les vaccinations, écrit le Pr M.Georget ont été volontairement laissés dans l’ombre et quand certains ont été révélés, l’importance en a été minimisée. Aucune enquête épidémiologique d’envergure » n’a jamais été réalisée pour en connaître la fréquence. Par voie de conséquence, le rapport BENEFICES/RISQUES sur lequel s’appuient de nombreux auteurs pour dire qu’il faut continuer à vacciner malgré les accidents qu’ils décrivent, n’a jamais été établi, pas plus d’ailleurs que le rapport COUT/BENEFICE . » Ce constat terrifiant semble bien confirmé la le Dr Thomas Jefferson, Membre de la Commission chargée du Programme Européen pour la Sécurité et la Surveillance Vaccinale, mandaté par la Commission Européenne pour évaluer la sécurité des vaccins, qui, dans un discours sans précédent (Sunday Telegraph, 27/10/2002 ; The Informed Parent n°4 ) , reconnaissant que ce problème constitue le « Cendrillon » de la recherche en santé publique , souligne le manque flagrant d’études sérieuses sur la relation BENEFICES/RISQUES et le caractère « simplement inadéquat » (« simply inadequate ») de l’information disponible sur la sécurité des vaccins administrés de routine aux enfants !

Ce sont essentiellement des motivations politiques qui justifient les procédures vaccinales. Ces dernières n’ont rien à voir avec la science. Les vaccinateurs ne pensent qu’à injecter quantités et quantités de vaccins sans se soucier des effets qu’ils peuvent produire . Dr V.SCHEIBNER

2007

« QUE VAUT EN EFFET UNE SCIENCE LIVREE AU DOGMATISME D’UN CLAN ET QUI NE CONSIDERE PLUS LE DOUTE COMME UN MOTEUR DU PROGRES ? Le mot « vaccin », en France est sacralisé. Nous en sommes encore à l’âge des guerres de religion, avec excommunication à la clé. Je dénonce ce terrorisme intellectuel et les connivences qui lui permettent de subsister. » Lucienne FOUCRAS, 2007

« Pouvons-nous continuer à laisser faire n’importe quoi au nom d’une science qui est à vendre » et même, bien souvent vendue. » S.Simon « Notre système vaccinal fonctionne sans preuve scientifique » Dr Philippe Sturer

« TOUS LES PAYS QUI RENDENT OBLIGATOIRE CET ACTE MEDICAL EXTREMEMENT INVASIF, QUI EST SANS REEL FONDEMENT SCIENTIFIQUE, ET DONT LES DANGERS ET L’INEFFICACITE SONT CONNUS, NE PEUVENT PLUS PRETETENDRE COMPTER PARMI LES PAYS LIBRES . » Dr V.SCHEIBNER ( 1993)

« Vaccination is a monstrosity, a misbegotten offspring of error and ignorance ; and, being such, it should have no place in either hygiene or medicine....Believe not in vaccination, it is a world-wide delusion, an unscientific practice, a fatal superstition with consequences measured today by tears and sorrow without end. » -Carlo Ruta, Professor of Materia Medica at the University of Perugia, Italy « If you want the truth on vaccination you must go to those who are not making anything out of it. If doctors shot at the moon every time it was full as a preventive of measles and got a shilling for it, they would bring statistics to prove it was a most efficient practice, and that the population would be decimated if it were stopped. »---Dr Allinson

(1) Dr P.E. Chèvrefils : Les vaccins, racket et poisons ? 1965 (2) Dr J.Kalmar , Maître Jean Eynard : Le procès des vaccinations obligatoires (3) Harris L. Coulter : Vaccination, social violence and criminality- The medical assault on the american brain, 1990.

Les textes ci-dessus émanant de plusieurs sources et exclusivement destinés à l’information ne peuvent en aucune manière être envisagés comme conseils, vérités absolues ou orientations sur le plan médical. Il incombe à tout un chacun de les utiliser comme il lui paraît le plus raisonnable et le plus utile. Il est important que cette information soit soumise au médecin qui a la confiance du lecteur pour une évaluation ou adaptation éventuelle à chaque cas. L’entière responsabilité de ces extraits appartient à leurs seuls auteurs


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