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Commentaire de Krakatoa

sur Déclaration stupéfiante de Benazir Bhutto au sujet de la mort d'Oussama Ben Laden


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Krakatoa 31 décembre 2007 22:21

Ce qu’il y a d’hallucinant finalement dans cette révélation, c’est qu’elle s’ajoute à tant d’autres qui vont dans le même sens...

Aussi étrange que cela puisse paraître, un évènement signifiant comme le 11 septembre qui a conditionné nombre de directives sécuritaires, de lois, de guerres et de politique ne semble pourtant pas digne d’intérêt pour cette presse qui a pour tache de nous informer...

Le 11 septembre que l’on nous vend sans cesse ne mérite pas plus d’épices que cela... Avalez la soupe, point ! Voilà un résumé plutôt édifiant de la qualité de notre presse indépendante qui garantit quelque part notre démocratie... La bonne blague. Voilà un aperçu pour ceux qui vivent dans l’illusion de la « démocratie » et de ses contrepouvoirs supposés... De l’illusion agréable ou de l’anesthésie.

Silence identique pour la récente déclaration de Cossiga, chut majeur, le bonhomme n’a rien pourtant d’un affreux partisan de la conspiration et autres attributs créés par les éducateurs de la dissimulation organisée. Juste un esprit libre qui parle et que personne ou presque n’écoute. L’info est restée lettre morte et pourtant, quelle révélation !

De Benazir Bhutto à Cossiga en passant par tant d’ouvrages sérieusement documentés sans oublier les invraisemblables incohérences du déroulement des attentats si souvent relevées, rien ne dérange nos fouineurs du réel (les journalistes) qui se contentent d’ignorer ce qui titille si violemment pourtant, trop occupés à beurrer des tartines de pages sur Nicolas et autres nouvelles résiduelles si importantes apparemment. Là est l’info, dans le périssable et la vacuité, ne jamais chercher trop loin comme Pearl (découvrir que les services pakistanais, Al Quaeda et compagnie bossent ensemble, c’est mortel..) ou Dasquié (un brin naïf ou comédien). Splendeur et misère des courtisans à plumes qui s’alimentent au foyer où brille la lumière incandescente qui devait éclairer la plèbe plongée dans l’obscurité de l’ignorance. Nous sommes trop bêtes pour comprendre qu’ils nous traitent comme des idiots que nous sommes sans doute...


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