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Commentaire de JL

sur Edward Bernays : la fabrique du consentement ou comment passer du citoyen au consommateur


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Francis, agnotologue JL 6 janvier 2008 16:37

@ Zalka : «  ». Edward (…) s’offusquait de la possession de ses œuvres par Goebbels. Etait-il naïf au point de s’imaginer que ses outils pour gouverner les « masses » ne seraient utilisés que par de gentils philanthropes ? «  »

Vous posez là une question de fond qui touche à la problématique de la fin et des moyens. Le fait que les mêmes moyens soient utilisés pour deux fins supposées antagonistes – les nazis et la civilisation libérale – inverse et invalide cette proposition machiavélique, et du même coup jette le discrédit sur toute son œuvre laquelle se justifiait par le fait que le peuple étant incapable de savoir ce qui est bon pour lui-même il faut qu’une élite le lui dise.

Cette réflexion vaut parfaitement pour les dirigeants actuels, évidemment.


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