Commentaire de Voltaire
sur Donnant-donnant
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Comme plusieurs commentateurs, je relève l’impossible contradiction de demander à un organisme de s’intéresser aux conditions carcérales sans s’intéresser aux politiques qui en sont responsables...
Si cet organisme constate, par exemple, que les lois votées par le parlement entraînent un accroissement du nombre de détenus, et donc de la surpopulation carcérale, et donc une aggravation des conditions de détentions de ces détenus, suggérez-vous qu’il lui soit impossible de dire que ces lois, qui n’ont donc pas prises en compte cette surpopulation, aient des conséquences néfastes ?
Le parlement, et plus encore l’executif qui propose les textes de lois, sont me semble t-il intimement responsables des conséquences de ces lois, non ? Dans ce cadre, il semble assez logique qu’un organisme qui s’inquiète de la vie des détenus puisse critiquer les actions d’un gouvernement si elles entrainent une dégradation de celles-ci.
Derniers commentaires
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08/01 15:21 - Crapulox
Tiens Castor, un copier coller de tes posts ! Trouves-y un rapport avec le sujet ! Je (...)
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08/01 14:23 - Castor
et en plus, je vois que tu as aussi pourri pas mal d’articles sur RUE 89. Partout où tu (...)
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08/01 13:34 - Castor
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08/01 11:34 - Crapulox
« Mes excuses à M. BILGER !!! » ???????????????????? Dis plutôt : « Mes vassales excuses à (...)
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08/01 11:20 - Castor
Allez, je te laisse mon canard, j’ai mieux à faire que de te lire. Mes excuses à M. (...)
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08/01 11:03 - Crapulox
On te demande de t’exprimer sur l’OIP et sur ses rapports avec la politique (...)
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