J’ai aussi ri de bon coeur en lisant l’article ci-dessous du web de France Telecom : Le côté gadget ne m’a pas échappé. Quant à l’ordinateur qui se répare tout seul, je pense que ce doit être sur le plan software et non hardware : nettoyage du registre, restauration du système d’exploitation, mises à jour et diagnostics par internet, etc. Non ? J’ai dû lutter moi-même, tout seul, pendant plusieurs années avec mon Compaq avec licence globale (et donc sans cd rom pour réinstaller Windows) avec le seul soutien d’ouvrages techniques, de mon ingéniostié et de mon intuition. Lorsque j’ai enfin apporté le PC chez un spécialiste, il n’en est est pas revenu que je parvenais à faire fonctionner la chose malgré les 15 virus et trojan qui l’infestaient. Depuis, je me suis détourné de ces choses matérielles et de cette forme de technicité que je délègue à mon grand fiston.

Voici l’article dont je parlais plus haut :

"Quand toute la maison devient communicante :

Dans la maison, on imagine surtout la communication avec l’audiovisuel, la hi-fi ou les appareils électroménagers (cf dossier du mois service à l’habitat). Pourtant, aucune raison technique ne limite l’univers des objets communicants aux seuls objets électroniques. France Télécom, réfléchit donc à la mise au point de futurs services communicants au sein de l’habitat s’appuyant sur des objets de tous les jours, qui garderaient leur fonction première, mais pourraient également communiquer. C’est le cas par exemple des « objets zen déclencheurs d’ambiance ». Une bougie parfumée sur son socle crée une ambiance relaxante dès qu’elle est allumée. Mais cet objet très simple pourrait également déclencher de la musique douce, réduire automatiquement l’intensité lumineuse des lampes dans la pièce, commander la fermeture des volets, lancer des projections visuelles sur les murs, transformant ainsi l’environnement. La boîte à secrets, sorte de boîte à musique multimédia, déclencherait des effets sonores, odorants ou visuels. Autre exemple, les œuvres d’art multimédia : en achetant un tableau, les personnes souscriraient une sorte d’abonnement et l’œuvre serait modifiée par l’artiste au fil du temps..."