Balao,
Ok, tenons-nous y au texte.
Je ne sais pas si ledit texte contienne oui ou non des erreurs de frappe.
Exemple : "Je ne saurais souhaiter une telle mort.Il me parait important de la professer".
L’auteur voulait-il dire plutôt "il me parrait important de le professer", càd professer le fait de "ne pas souhaiter la mort".
Et pourtant, lorsqu’il dit : "comment je pourrais me réjouir que ce peuple que j’aime soit indistinctement accusé de mon meurtre ?!", il entend qu’il se sait rentrer dans un pays où il existe un dangereux engrenage, un engrenage tel où les vrais assassins fondent au soleil et se confondent dans les ombres, et pourtant, le Monsieur y va tout "gaiement", en espérant que ses potentiels assassins ne soient pas confondus avec l’ensemble du peuple algérien.
Bah ce type ce prend pour Jésus pris en tenaille par les pharisiens, qui s’interposèrent entre lui et les juifs.
Faudrait vraiment être aveugle pour ne pas voir les parallèles que ledit jésuite voulait reconstituer.
Il continue alors en disant : "C’est trop cher payé ce qu’on appellera peut-être la « grâce du martyre » que de le devoir à un Algérien, quel qu’il soit, surtout s’il dit agir en fidélité à ce qu’il croit être l’islam".
Il prétend qu’il ne mériterait pas le titre de martyre (lynché à cause de sa foi) ni "la grâce qui va avec" s’il aurait à être abatu par un local mu par quelconque motif religieux, religieux qui finalement ne mériterait pas un tel attribut.
Bein ne lui aurait manqué que de prétendre que sa mort serait nécessaire pour laver les locaux de leur adhésion à l’Islam ; et avoir eux aussi leur salut par le biais de sans sang à lui.
Ne manquerait que la Cène.
Je vous dis qu’il voulait immiter la fin de Jésus.