S’il vous plaît ne confondez pas le fait que Sarkozy est bas dans les sondages, l’accessoire de cet article, avec sa fin (ce qui du reste en soi est une définition ou très vague ou très précise qui voudrait dire sa mort). Car nous ne sommes pas assez abrutis pour pensez que son score en chute vertigineuse ne l’oblige nullement à une démission. La fin annoncée et qui arrive à grand pas c’est la fin de l’état de grâce, la fin d’une cote sur-évaluée. Donc ce que j’avais annoncé en novembre c’est qu’il faudrait moins de trois mois pour que les courbes de satisfaction/insatisfaction se croisent ce qui a été avéré par les chiffres des derniers sondages. Et comme il a dit qu’il ferait tout tout de suite, comme la conjoncture est devenue et sera encore plus défavorable, il sera pris au jeu de ses morts. Et vous vous trompez, les français ouvrent de plus en plus les yeux car justement Sarkozy baisse dans les sondages. Quant à ce que Bayrou s’intéresse à ce genre de combat ou qu’il en soit reconnaissant cela est le cadet de mes soucis ou le cadet de mes rêves. Il y a deux combats : un que Sarkozy quitte le plancher des vaches françaises le plus vite possible et 2 que les idées qu’incarne actuellement Bayrou trouvent un écho suffisant le plus rapidement possible pour qu’une politique qui place l’homme et non l’argent au centre de la société éjecte de sa place la politique du Veau d’Or et des Ray Ban.