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Commentaire de esperantulo

sur Y a-t-il en France un complot pour généraliser le bilinguisme français-anglais ?


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Hermes esperantulo 28 janvier 2008 19:27

 

Ce qu’il est toujours intéressant de constater c’est les grand yeux que font nos hommes politiques français envers le modèle américain, ce coté atlantiste. Au niveau des langues ce constat est affligeant, de nombreuses personnes ont prédit la perte d’influence française par le fait de faire de l’hégémonie anglaise, Lecherbonier et Hagege ont fort bien expliqué le problème bien avant qu’il arrive, et les exemples ont étés très nombreux, le cas de l’anglais dans les entreprises françaises n’ayant que des français, de la publicité en anglais qui ne permet pas d’améliorer les vente en France. Ce que je pressent c’est si le système multipole mondiale arrive plus rapidement que prévu ( merci à la crise immobilière américaine), c’est un retournement de situation face au tout anglais, comme il se passe actuellement face à la crise immobilière américaine et que notre bon président voulait faire pareil avec sa France de propriétaire ou des crédits à risques, qui ce cher président n’en parle plus, le parallèle n’est pas facile à faire mais si le multipole international se met plus vite en place et que de nombreux pays se dirigent vers d’autres langues pour conquérir d’autres marchés, la France suivra comme d’habitude parmi les derniers. Mais même en étant dernier à suivre nous avons encore un résidu de viviers de personnes capable de faire apprendre, d’apprendre et de travailler dans d’autre langues que l’anglais, déjà en espagnol et allemand, un vivier de russe mais dont les enseignants commencent à être proche de la retraite (dans ce cas il faudra faire de l’importation de profs), un vivier de chinois avec de jeunes profs, un autre vivier d’arabe qui a du potentiel.
 
Beaucoup croit que l’anglais est facile et que tout le monde se débrouille, mais quand on regarde de plus près, dans les grandes boites il y a besoins de relecture des contrats, d’avocats spécialisés en anglais pour être sur de ne pas se faire avoir du fait des risque de mauvaise maîtrise de la langue. Un exemple flagrant c’est notre bon président en temps qu’officiel utilise le français et se fait traduire par un interprète spécialiste lors de ses discours pour le reste du monde, et qu’il parle en anglais directement pour des petites choses pour faire du copinnage, un de ses exemple est un certains Blair qui a fait du français lors du congrès UMP, qu’il maîtrise assez bien mais dont on voit quand même qu’un certains travail à été fait en amont pour tenir la route lors de son discourt qui était non officiel.
 
Mais beaucoup peuvent rétorquer que se ne sont que des cas particulier où là en effet il faut une bonne maîtrise de l’idiome, en effet mais dans le cas du petit travailleur de l’entreprise son anglais dit basique lui est suffisant mais pour monter sur l’échelle des salaires il faudra bien qu’il maîtrise mieux l’outils hors, justement peu en sont réellement capable, pour cela il suffit de regarder la différence de niveau entre une école de commerce et HEC, l’une joue le rôle de la femme de ménage, celle des choses du quotidien et l’autre celui du patron, celle ou l’on gagne beaucoup mais beaucoup d’argent. Donc pour de nombreuses personnes c’est de la débrouille et non un réel outils de travail, juste un appoint ; Et HEC montre bien que par des études en anglais en université on peut avoir un bon niveau sans avoir fait au préalable anglais en primaire, c’est juste une question de capacité et de bonne façon d’étude.
 
On dit souvent que les étrangers du nord sont meilleurs que les français, oui car il y a perfusion de l’anglais, mais au final quand on regarde le niveau français est meilleur dans le commerce international, donc tout confirme que c’est la façon de faire en université qui joue.
 
On dit que les français sont nul en anglais dans la population non commerciale donc l’ouvrier de base, c’est vrai par rapport à certains pays du nord. Mais quelle en est l’utilité si on ne voyage pas en dehors de son pays ou que ce dernier n’est pas atteint par des grand flux de migrations professionnelle, aucun avantage. On pourrait se demander aussi par rapport à internet, mais comme la part anglaise à fortement diminuer sur le web et que l’on retrouve quasiment toutes les infos en français pourquoi se faire chier à utiliser l’anglais actuellement. En fait quand on regarde bien qui lit en anglais sur le web c’est la partie qui déjà utilise l’anglais et qui doit faire des recherches dans cette langue pour le boulot, donc des personnes qui dans tous les cas l’utilisent, comme les étudiant de facebook ou les jeunes commerciaux. Bon on peut y retrouver les quelques polyglottes, mais c’est une denrée rare et les personnes qui n’utilisent pas l’anglais en tant que professionnels par ci par là qui eux aussi semble ne pas beaucoup exister.
 
Ensuite on peut parler de l’anglais d’aéroport, celui ci n’a besoin que d’un livre pré-traduit, c’est ce que j’ai pour me faire comprendre à l’oral ou pour trouver mon chemin, mon oral anglais et désastreux mais en me faisant passer pour un muet, ca passe tout seul et en plus par l’écrit je suis sur de me rappeler de ce qu’on m’a dit ou écrit Et puis ca protége pas de tout comment dire coupe ongle ou le comprendre quand on n’a jamais eut ca à l’aéroport, ca m’ait arriver 20 secondes d’incompréhension alors qu’il suffisait de me montrer le dessin qui était juste à coté de moi, ou comme pour la prothèse de hanche , tout autre objet métallique du corps, ou de la bouteille de médoc liquide malgré l’ordonnance.
 
Donc quand on regarde les choses en face, certe l’anglais dans certains pays est mieux connu grâce à la perfusion qu’en France, mais la plus part ne l’utiliserons jamais et au final la France malgré son apparent refus d’apprendre des langues dans la population possède un très bon vivier d’experts en anglais grâce au systeme universitaire et qui se dernier assure une bonne représentation de la France dans le monde comparé aux pays nordiques ou le vivier est bien moindre au niveau performances.
 
Donc l’anglais en CE1 est une idée idiote, car les résultats futurs ne sont pas garantis lion de là, car pour poursuivre ne niveau il faut anglais en 6eme donc perte du vivier de diversité linguistique, alors que ce temps pourrait être consacrer à faire les programmes scolaire en entier, car actuellement en primaire et collège impossible de boucler le programme m^me sur les aspects essentiels que les élève doivent connaître pour la classe supérieure, d’ou un fossé important se creusant entre ceux qui réussissent à suivre et le reste. Pour exemple j’e connais quatre collèges dont deux privés qui ont pourtant une bonne réputation et bien le niveau globalement s’est affaissé sans aide de soutient scolaire du fait des limites de temps de programme ( d’où la mise en place actuellement des heures sup. chez les enseignants pour combler le manque d’heures)

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