Djanel et non pas Djamel.
Je ne veux pas entrer dans des polémiques stériles. L’article de That Jazz n’est pas une thèse de doctorat mais c’est plutôt l’œuvre d’une jeune fille qui s’exprime sur les problèmes qui la préoccupe et j’ai trouvé que dans son texte, elle se posait les bonnes questions et qu’elle nous faisait remarquer que la croissance dynamique des années appelées les trente glorieuses nous avez légué des problèmes de pollution, de choix économique qui nous poseront quelque problème avec la raréfaction du pétrole qui se pointe. Et surtout elle se moque du concept croissance dynamique et je trouve qu’elle a raison parce que nous ne pouvons pas revivre en 2008 comme nous vivions en 1975 !!! L’époque de mes vingt ans. Çà y est vous m’avez foutu le blues. Snif, snif, snif, snif.
Quant à Black Ader il ne respecte pas toujours les idées des autres et forcément il se prend des retours de manivelle. Savez-vous ce qu’est un retour de manivelle. Sur les moteurs qui n’ont pas de démarreur, on prend une manivelle et tente de faire tourner le moteur, si vous n’avez pas été assez costaux pour que le moteur face son tour complet, la manivelle repart dans l’autre sens avec autant de force que vous en avez mis pour le faire tourner. Çà fait mal. Voilà ce qui arrive à Black Ader. Ce ne sont que des retours à l’envoyeur.
Sur le texte de That Jazz il y a d’autres sarcasmes exprimés sur les remèdes miracles de nos politiques qui nous mélangent les théories de Keynes et l’économie libérale dont les théoriciens nous disent laisser faire çà guérira naturellement. C’est la politique du libérale Sarkozy et du coup on voit bien qu’elle fut assez lucide puisqu’elle a vu qu’on peut lui opposer une politique interventionniste. C’est un sujet polémique qui fâche. Un sujet qui a été traité sur le ton de