Commentaire de Paul Villach
sur Il y a des gifles qui se perdent : le professeur et le droit de correction
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Merci de ce doute méthodique. Toutefois considérez que je ne me serais pas avancé si je n’avais pas sous les yeux des cas d’espèce comparables, au risque de me prendre une gamelle. La taille de l’article ne me permettait pas de vous en mettre des pages.
Dès que j’ai le temps, je tâche de vous mettre des exemples sous les yeux. Saint Thomas ne croit que ce qu’il voit. Mais il va de soi que je m’en tiens aux précautions énoncées dans l’article sous réserve que la situation décrite par les médias soit fidèle à la réalité.
Il reste qu’il est symptomatique que l’idée même d’un droit de correction reconnu à un professeur par la justice suscite tant de méfiance ! On a réussi à mettre dans les têtes que l’élève est roi, même le voyou ! Paul Villach
Derniers commentaires
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16/12 11:24 - Paul Villach
@ Innomine pater Pour poursuivre votre réflexion, voyez les divers articles que j’ai (...)
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16/12 00:51 - Innomine Pater
Bonsoir Monsieur Villach, Je réagis tardivement car je découvre ce site. Enseignant dans (...)
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13/02 09:46 - Francis
Bonjour, sic "..."On ne peut pas accepter qu’un professeur gifle un enfant (...)
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12/02 18:04 - Dub
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10/02 16:31 - persil
Et les parents ont ils fait de même avant de faire un gosse ? Ca ne les inquiéte pas (...)
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10/02 10:49 - 5A3N5D
On parle beaucoup moins de ceci n’est-ce pas ? :- ( Une enquête administrative est en (...)
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