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Commentaire de Paul Villach

sur Il y a des gifles qui se perdent : le professeur et le droit de correction


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Paul Villach Paul Villach 1er février 2008 14:44

Je viens confirmer votre citation du jugement du TGI de Paris du 24 mai 1972 :

"Attendu que (...) si les châtiments corporels ou même le traditionnel droit de correction ne correspondent plus à l’état de nos moeurs, les parents et les enseignants possèdent toujours, dans un but éducatif, un pouvoir disciplinaire pouvant éventuellement s’exercer sur de jeunes enfants sous formes de gifles ou tapes inoffensives."

"(...) Attendu que le comportement inadmissible de cet enfant, d’ailleurs habituel comme le prouvent les attestations du directeur d’école, justifiait une réplique de l’enseignante ; que si ces tapes ont dépassé en force ce qui eût été strictement nécessaire pour exercer la mission éducative, elles n’ont pas constitué une sanction excessive de nature à porter atteinte à la santé de l’écolier ; que dans ces conditions, il convient de renvoyer Mme M... des fins de la poursuite." Paul Villach


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