Commentaire de clairette
sur Il y a des gifles qui se perdent : le professeur et le droit de correction
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@ Paul Villach,
Merci de me donner une adresse où je puisse écrire à ce professeur pour lui témoigner mon soutien. (Je ne fais pas partie de l’Education Nationale, et pas fonctionnaire non plus ! précisions utiles pour les adversaires inconditionnels des services publics).
Si le gamin du voisin qui vient jouer avec mes petits-enfants refusait de ranger ses jouets, et me traitait de "connarde" ou "grosse conne" quand je les remets en vrac dans sa caisse : eh bien je lui mettrais une gifle, ou une fessée ! Mais j’ai de la chance, ce sont des cultivateurs, pas de procès en vue ! ça ne risque pas d’arriver, les enfants de mon petit village de la France profonde sont (encore) bien éduqués !
Et je reconnais qu’il m’est arrivé de mettre une fessée à mes tout petits-enfants ! Ceux qui sont maintenant adolescents en reconnaissent le bien-fondé : "ils l’avaient bien cherchée" ! Je n’ai aucun remord à ce sujet !
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