"Ah ! Mauvaise foi, quand tu nous tiens ! (Rappelez moi votre profession, déjà !)"
Dites d’abord la vôtre ! Quant à moi, je suis artisan.
La mauvaise ici est de déformer les propos des gens pour leur rétorquer. Je dis que la suite logique et quasi anecdotique, de s’être cru le droit, de la part du gosse, de refuser la demande du prof, puis de faire semblant de s’ étonner que celui-ci ait, lui, le droit de se mettre en colère, ce qui était une seconde insulte après le refus, c’ est, toujours de la part de l’ enfant, le droit ensuite à l’insulte carrément verbale,cette fois, envers le prof.
Tout ceci n’étant que le résultat de l’éducation reçue à la maison, donc avec une préméditation longuement ruminée chez l’enfant, à qui on a sans doute expliqué qu’il était un vaincu de l’existence avec le droit de rébellion et d’insolence tous azimuth . Triste éducation ! Pauvre mioche !
De toute façon, si la vie ne le redresse pas, et s’il n’est pas aussi débile que son père et que ceux qui ici croient devoir le défendre, il y a tout lieu de croire et d’espérer pour lui qu’il en tire la meilleure leçon qui serait d’aller à l’école pour apprendre et non pas pour se rebeller aussi grossièrement qu’inutilement ni y mettre le désordre.