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Commentaire de Aline

sur Vaccination : la systématisation devient possible


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Aline 6 février 2008 13:39

LE MYTHE DE LA VACCINATION SALVATRICE

 

 Jacqueline LARDY

 

 

Je deviens la énième victime anonyme de la politique sanitaire de masse, encouragée par l’Académie médicale et accréditée par les pouvoirs publics. Ces deux instances dominantes subodorent dans cette pratique un moyen de choix pour assurer, au nom du bien collectif, leur pouvoir sur une population craintive et donc crédule.

 

Ainsi, les états les plus autoritaires d’Europe appliquent-ils, répression à l’appui, l’obligation vaccinale. Et la médecine la plus totalitaire impose-t-elle la soumission muette à ses décisions aussi arbitraires soient-elles. Et si, pour ne pas déroger à sa haute mission, elle se contente de tirer du bout de ses gants blancs les ficelles de la sanction, le blâme moral demeure son apanage.

 

Mais cette politique sociale et sanitaire, habilement dirigée dans le sens d’un conditionnement de l’individu, je ne l’ai comprise que plus tard. Dépitée d’avoir été, non seulement trompée, mais ainsi poussée vers des formes graves de la maladie, je décidais de me documenter sur l’histoire des épidémies et des vaccinations. Alors, de cours de Fac en livres d’histoire, de dictionnaires en articles médicaux, prit forme le fruit de mes recherches. La forme d’une supercherie emballée dans un discours scientiste !

 

Car jamais aucune preuve crédible n’a été apportée de l’efficacité de la pratique vaccinale. On a falsifié l’histoire pour faire concorder la récession des épidémies et l’introduction des vaccinations. On a interprété unilatéralement les phénomènes, on a effacé les échecs et les conséquences troublantes ; on a négligé les facteurs sociaux et hygiéniques, déterminants dans l’éradication des maladies pour proclamer haut et fort les mérites de la vaccination. Oui ; ainsi a-t-on agi ! Or, est-ce de cette façon que l’on prouve ? Où sont la rigueur et l’honnêteté scientifiques ?

Mais qui parle de prouver ?

Il ne s’agit pas de prouver : il faut faire croire ! Persuader la masse des gens de l’efficacité des interventions puis, en conséquence, de leur nécessité.

Ainsi, l’oligarchie médicale usurpe-t-elle le droit de s’ériger en Sauveur suprême et unique, incarnation d’une « science » transcendantale. Elle se dresse en Sauveur généreux, qui connaît le mal et sait l’exorciser pour en préserver ses ouailles ; en Sauveur châtieur dont le glaive maladie siffle comme un fléau en folie au-dessus de la tête des candides et inflige dans les chairs les stigmates de la désobéissance punie. Gare à la brebis galeuse qui, à elle seule, peut réduire à néant l’œuvre de protection de l’humanité entière ! Haro, haro ! Là se niche le fléau !

 

Elle trône enfin en Sauveur rédempteur qui rachète, par son art, les maux et péchés des humains infantilisés. Et elle s’en va prêchant, de l’officine de quartier à la cathédrale des ondes, exhortant à la foi les foules impressionnées par les miracles de ces thaumaturges en blouses blanches qui prétendent défier la Mort pour le salut de tous.

 

Malgré leur volonté réelle de servir le malade, les médecins de la base, enfermés dans la structure hiérarchique de leur caste et façonnés par une idéologie réductionnelle, ne demeurent que les pantins de l’infernale machine étato-médicale dont les mobiles communs demeurent pouvoir et rentabilité.

 

Combien de victimes pâtiront-elles de cette politique avant que ne soit remise en cause la pratique vaccinatoire ?

 

Combien de malheurs le vaccin antivariolique a-t-il semé avant que soit envisagée, dans quelques mois, sa non obligation ?

 

Et moi, petite oie, par mon conformisme grégaire à propos de ces interventions, j’ai offert aux substances étrangères inoculées la possibilité de jouer pleinement leur rôle de catalyseurs de destruction.

Il me faudra, à l’avenir, être plus vigilante. Il est temps que je secoue la dangereuse emprise que les dogmes exercent sur moi !

« L’aventure commence souvent au moment même où nos certitudes les plus tenaces en prennent dans l’aile. » ( Jacques Lanzmann, Fou de la Marche.)

 

 Jacqueline LARDY, « La griffe du Loup-Garou

 [email protected]

 

 

« Je possède les clés du coffre Santé. Je les ai maladroitement remises à d’autres, qui les ont perdues. » Jacqueline LARDY

 


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