Pour répondre à cess interrogations, il est d’abord nécessaire de s’interroger sur les définitions à donner à ces termes de vérité et de bien.
Ce sont des notions extrèmement polémiques, qui gravitent dans l’esprit du journaliste comme du scientifique, du philosophe, de l’historien ou du géographe.
Ces questions se posent-elles en ces termes ?Nous pourrions aussi observer le comportement des différents acteurs de cette histoire : l’auteur, l’UNICEF, les journaux et nous. Comment cet homme a pu faire une telle erreur dans ses propos, et quel intérêt trouve-t-il à mentir ? etc.
Par ailleurs, l’espoir selon lequel le-bien-ressort-de-la-vérité anime tout scientifique ou journaliste est criticable et engendre des ’problèmes’. L’un fini par ’croire’ en un bienfait, voire un progrès, qui découlerait de ses recherches et l’autre se met en situation de perpétuelle remise en question de sa pensée, et donc d’immobilité en terme d’actes. Deux extrèmes qui se résument par l’opposition science sociale/ science dure.
La recherche de la vérité (et non la vérité, il faut nuancer) n’abouti pas nécessairement sur le bien, si tenté qu’il existe. Elle doit s’accompagner de conviction et d’empathie.
08/02 01:39 - Entropiste
Pour répondre à cess interrogations, il est d’abord nécessaire de s’interroger sur (...)
06/02 14:20 - geko
Lorsque le gris n’est plus discernable le blanc et le noir deviennent rassurants ! En (...)
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