@ Claude
Je suis une femme et non je n’ai pas encore vécu la grossesse et l’accouchement ça ne m’empêche pas de me poser des questions et d’essayer de comprendre certaines choses, j’ai beaucoup plus de mal avec d’autres. N’ayant pas vécu de grossesse, de fausses couche ou d’avortement je ne sais pas ce que ressentent les femmes et jeunes filles qui vivent ces moments et j’imagine que ce n’ai pas toujours très gai (surtout pour ce qui est des fausses couches et de l’avortement).
"au cas où vous ne le sauriez pas, il faut être 2 pour faire un enfant : le père est aussi responsable que la mère, comment l’obliger à faire face à ses conneries ? jusqu’à présent, on n’a pas trouvé le moyen de pratiquer des grossesses partagées..."
J’aime bien votre côté sarcastique sympa . Mais je sais qu’il faut être deux pour concevoir un enfant seulement la plupart du temps c’est la mère seule qui prend la décision de garder ou pas l’enfant et le père puisqu’il ne porte pas l’enfant est souvent mis à l’écart dans les cas où le père et la mère du futur bébé sont en conflit. Faire face à ses conneries ce n’est pas seulement endurer les 9 mois de grossesse et l’accouchement c’est aussi assurer l’avenir du bébé quitte à le confier à quelqu’un de plus responsable.
Vous parlez de responsabilité du père mais que faîtes-vous par exemple de la responsabilité d’une mère qui fait un bébé dans le dos de son compagnon, il y a parfois des deux côtés de l’irresponsabilité et de l’égoïsme. Peut-on obliger la mère à avorter parce que le père ne veut pas de l’enfant ? Non bien sûr parce que c’est la mère qui décide puisque c’est elle qui le porte, ça peut-être ressenti comme une injustice, une trahison par certains hommes.
"le mieux serait de prévenir les grossesses, mais l’ivg offre un recourt ultime avant de boulverser définitivement plusieurs vies... "
S’agit-il dans tous les cas d’un ultime recours ? J’en doute.