@Claude
Tout d’abord, et je vous cite lorsque vous parler d’immigration, vous précisez :
" Dès la seconde moitié du XIXe siècle "
Ce qui contrairement à ce que dit Morice ne fait pas 2000 ans...
Ensuite vous abondez dans mon sens. Comme je le précisais les motivations des immigrés d’il y a 50ans étaient clairs : ils venaient chercher ce qui manquait chez eux du travail et les valeurs de la république.
Or du travail aujourd’hui on en a plus. On peut donc supposer que ce n’est donc plus la motivation première.
En suite lorsque l’on parle d’intégration il y a deux points qui sont primordiaux :
- La position de la femme : les immigrés de la premières heures étaient des progressistes, leurs épouses travaillaient, apprenaient le francais. Aujourd’hui nos immigrés sont ce qui se fait de plus réactionnaires dans le domaine. Qui n’a pas vu ces fantomes qui poussent leur poussette et trainent leur marmaille ? Elles n’ont pas trente ans quel est leur avenir ?
- Le problème religieux : la religion de nos nouveau immigrés est un carcan dont ils ne se sortiront pas : on peut par exemple parler des mariages mixtes qui sont impossibles hors religion.
Or comme l’explique le Papet à Galinet "Ce qu’est pas bon pour les lapins c’est pas bon pour les humains".
Dire comme @faxtronic que le problème est purement social est une vue de l’esprit.
Celà voudrait dire que tous cherche à s’intégrer par le travail. Or 50% (les femmes) ne le pourra pas même avec une reprise économique. Et aujourd’hui faire vivre une famille nombreuse sur un seul salaire condamne à l’indigence.
D’autre part le cycle 9 mois en France 3 mois au bled est rarement compatible avec une activité salariée.
Le pire c’est que ceux qui paraissaient les plus intégrés, qui ont un travail valorisant, qui il y a quelques années n’hésitaient pas à venir boire un coup (même alcoolisé) en fin de journée, aujourd’hui ne parlent que d’Islam et de traditions "folkloriques".