Le vendredi 18 janvier, débute dans les gares et les métros franciliens une sinistre campagne de promotion de l’avortement soutenue par le Conseil régional d’Ile-de-France.
Outre le fait que les espaces publicitaires sont payés avec l’argent du contribuable, les documents de propagande associant sexualité, contraception et avortement prouvent une fois de plus la volonté de troubler les esprits quant à la gravité de l’avortement.
La perversion des concepteurs de cette propagande de la « culture de mort » est allée jusqu’à exposer sur les affiches une femme enceinte !
Une telle publicité se justifie, selon le planning familial, par le fait que « les lois sur la contraception et l’avortement (…) ne sont pas correctement appliquées ». C’est seulement vrai dans le sens où l’avortement, légalement prévu pour des cas extrêmes, est devenu un simple moyen de contraception aboutissant chaque année à l’élimination d’un enfant à naître sur quatre !
A l’heure où l’hémorragie démographique n’est masquée que par un recours massif à une immigration de peuplement de plus en plus incontrôlable, cette promotion n’est qu’une indécente incitation au suicide collectif.