" Pour Keynes, qui restera certainement l’économiste qui aura le plus marqué le XXe siècle, les hommes politiques appliquent sans le savoir les recommandations d’économistes dont ils ignorent le nom. "
Nan, il applique des programmes démago sans rien connaitre à l’économie, cf Bloum, Mitterand, Jospin. Si les choses s’arrange, tant mieux.
"Comme le Conseil d’Etat, les économistes sont aujourd’hui juges et parties : ils conseillent et ils sanctionnent l’action gouvernementale."
Nan, c’est la réalité qui santionne.
"Un économiste de l’Institut de l’entreprise (qui réalisait les chiffrages des programmes) expliquait à l’époque que les incertitudes sur les recettes étaient trop grandes et qu’il préférait s’en tenir aux dépenses. En d’autres termes, il avouait à mots couverts que cet exercice ne servait strictement à rien, sauf à considérer que le futur président doit être celui qui propose le moins-disant en termes de programme."
Tsss, l’Etat calcule d’abord ses dépenses, et même uniquement : il considére les recettes comme illimités, puisqu’on peu faire payer le contribuable même pas encore né.
"On peut, par exemple, fonder une autre théorie qui suppose que le bonheur des peuples ne dépend pas du niveau absolu de leur richesse, mais du niveau relatif par rapport à ses voisins. Dans ce cas, le libre-échange ne va plus forcément de soi."
L’économie est une science et ne s’occupe pas de religion et autre superstitions. En particulier, elle se fiche totalement d’une variable aussi subjective que le "bonheur", qui plus est d’un "peuple". Tous ce qu’elle dit, c’est que si vous ne suivez pas ses conseils, vous ne serez pas soigné, logé, nourri, éduqué, etc, correctement, voir pas du tout.. Et l’homme politique ajoute : et vous vous ferez sodomiser profond par vos voisins..
"De même qu’ils ne parviennent que très rarement à prévoir les crises ou à mesurer la croissance, les économistes sont souvent bien incapables de chiffrer l’effet d’une flexibilité accrue du marché du travail sur l’emploi ou encore d’une mesure de relance budgétaire sur la consommation et le PIB."
C’est plus un probléme de limite des mathématiques que d’économie, et le fait que l’etat ne controle rien du tout, en fait. Il ne fait que corriger les effets pervers de ses propres mesures, indéfiniment.. Cela dit, l’économie est cyclique, donc on peut tout de même savoir quand aura lieu la correction.
Concernant les "mesures" de relance Français, 20% du budget de l’Etat, son résultat est égal à la croissance (suffit de voir la dette, et de soustraire la hause bidon du PIB). Autrement dit, la croissance en France est de zéro depuis plus de 15 ans.
"Plus on fait d’économie, plus on se rend compte que l’on n’est pas sûr de grand-chose."
Arf ! Les économistes sérieux sont tous d’accord entre eux sur 99% de la matiére, et qui plus est l’essentiel, comme la Loi de l’Offre et de la Demande, le libre échange, l’équilibre budgétaire etc.. C’est d’ailleur pour cela que les média n’ont trouvé qu’un membre du PCF comme bernard Mari pour faire le guignol sur les plateaux.. Un vrai économiste casserait trop de leur rêve et illusion...
"Comme toutes les autres sciences sociales, celle-ci se heurte à l’imprévisibilité des comportements humains, à la complexité et à la variabilité des systèmes étudiés"
Nan, les tendance lourdes sont prévisibles. Quelque soi les comportement individuel, l’URSS était condamnée. De même, l’économie US va rester dominante pour encore au moins 50 ans. La Chine va devenir une superpuissance, l’Europe est en déclin, et la France elle va faire faillite.