je ne peux m’mepêcher de me glisser dans votre joute verbale avec Skirlet.
« si la politique de minimisation de l’effort financier, intellectuel et politique consacré à l’apprentissage des langues était effectivement mise en place, cela vous mettrait effectivement sur un piedestal linguistique à tout jamais... »
C’est la politique actuelle qui est élitiste et place sur un piédestal les native english speakers ou les « same level » comme le disent les petites annonces, c’est-à-dire tous ceux qui auront consacré à la maîtrise de l’anglais un effort « financier, intellectuel » et en temps suffisant, comme c’est votre cas.
La solution espéranto ne consiste pas à tirer tout le monde vers le bas, cliché que vous reprenez par ailleurs dans un autre message, mais à optimiser la communication, à fournir un outil facile, neutre, plus international, cost-effective, de meilleur rapport qualité-prix, démocratique, qui donnerait à tous les européens la possibilité de discuter entre eux, y compris à ceux qui pratiquent peu parce que leur métier n’a aucun rapport avec les langues, qui voyagent peu et pour qui il est illusoire de vouloir l’intercompréhension, fût-elle passive. En fait, la question est : nos dirigeants et nos leaders d’opinion se soucient-ils rélelement de tous ces européens exclus de la communication entre pays ? Vous ne précisez d’ailleurs pas vers quoi tendent vos souhaits de tirer vers le haut, deux langues étrangères, trois quatre ? Lesquelles ? a quel niveau ?