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Commentaire de eric

sur Y aurait-il quelques dérives dictatoriales en France ?


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eric 23 février 2008 13:39

 

On peut lire

L’article montre pourquoi il était décidément urgent d’élire un président qui tente de remettre les administrations dans leur devoir démocratique.

Moins rigoureux que les productions habituelles de cet auteur.

Le ton est celui dont les ouvrages sur les rapports hommes femmes nous disent qu’il est celui de la femme hystérique dans une scène de ménage, Jamais, Toujours ! etc…

Tient, l’article commence par une erreur facile à corriger. Si, Il y a déjà eu au moins un président qui a suscité une telle méfiance http://www.php.sofres.com/cote2/redirect.php

Il nous apprend que personne n’a obligé Bayrou, Royal et Villepin à faire un appel. « ils l’ont fait de leur propre chef »L’Elysée est mis sous surveillance » par l’opposition dont acte. Dire que c’est une première…….

En revanche à travers les exemples choisis, on voit pointer les dérives dictatoriales de l’auteur :

L’Etat ne dois pas intervenir dans le service public de l’éducation. « L’autorité du dispositif éducatif …. !!!! ???? »  Non intervention du politique dans le champs éducatif. Idem dans la télévisons publique. Cela parait absurde, l’état ne devrait pas intervenir dans l’état ? , mais ne l’est qu’en apparence. Certaines administrations auraient par nature vocation à « produire du sens » sans être sous le contrôle du politique donc des citoyens et notamment à travers le pouvoir exécutif qui est par définition choisi pour agir ?

Pourquoi ? Au nom de leur compétence auto proclamée ? On serait alors dans la technocratie. Au nom de leur immanence ? On serait dans la bureaucratie.

Dans les deux cas, on serait bien dans ce qu’évoque l’auteur

« dérives autoritaristes d’un Etat épris de sa puissance, son narcissisme directif, prenant la société civile comme une substance psychologique qu’il faut prendre en charge »

C’était bien la tendance et c’est bien ce modèle que défend l’auteur. Les « politiques » doivent foutre la paix aux « spécialistes ».

Heureusement il reste la possibilité d’élire un Président capable de remettre les administrations dans leur devoir démocratique.

On sort de l’article en comprenant mieux l’hystérie anti sarkozy. C’est la réaction des dits « spécialistes » qui ne veulent pas entendre parler de rendre des comptes aux citoyens.


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