la critique n’es pas dénigrer, mais évaluer selon certains critères objectifs. prendre la critique avec un sens positif signifie exorcicer une crainte millénaire de la ruine de l’idendité et des valeurs. si nous n’en sommes pas là, c’est que des faits se sont produits qui ont empéchés d’évoluer des peuples entiers.
alors il faut la récuser quand elle a tendance à se généraliser, à s’amalgamer et à être utilisée dans un climat malsain qui lui nuit plus qu’elle ne l’arrange, car ressentie comme idéologique et qui excite tous les courants
Faire la critique de l’islam entre le texte originel et le texte interprétatif s’avère nécessaire pour déconstruire les couches mentales imaginales et radicalement ancrées dans les pratiques sociales, politiques ou intellectuelles. soit.
mais les nuées de clichés et de préjugés doivent eux aussi disparaitre car s’il est vrai que la pensée islamique est quasimment asphixiée par les fondamentalistes, les potentats, les gouvernants et ressasse les mêmes idées héritées depuis la cloture de l’effort, il est vrai aussi que la volonté de se remettre en question est brisée avant même de naitre par des volontées encore plus grandes, politiques-économiques-historiques.
la verité peut être aussi ailleurs wriska