Attention, je ne dis pas qu’il y a eu un attentat ou qu’il n’y a pas eu un attentat : actu, je n’en sais rien du tout.
Je dis simplement que cet élément du silence radio des services spéicalisés occidentaux est un élément essentiel à prendre en compte : car franchement, pouquoi donc les états-unis se seraient privés de reprendre cet attentat à leur compte pour mener à bien leur remodelage du Moyen-Orient ?
Ils ont été humiliés par la France à l’ONU (avec diverses démissions ou mutations étasuniennes à la clé), alors que si l’attentat terroriste de Toulouse avait été appuyé et repris par la CIA et le MI6, ils auraient eu les mains totalement libres et la France aurait du faire profil bas et se ranger derrière eux, la tête basse.
A moins que les services secrets fraçais aient été au courant eux aussi d’autres éléments concernant cette fois-ci les attentats perpétrés aux Etats-Unis, et que tout se beau monde ait signé un pacte de « non-agression secret » sur ce double sujet.
En tout cas, ne pas prendre cet élément en considération, c’est faire peu de cas du « travail excellent » mené par la justice française en « collaboration étroite » avec les divers services secrets occidentaux, comme l’affirmait très récemment le juge Bruguière à la radio.
Qui faut-il croire alors : le juge Bruguière qui nous parle du danger islamiste extrême mais donne quitus à la justice française, ou au contraire vous et feu-l’auteure du livre qui avancez des hypothèses opposées à celles du juge Bruguière et à la justice française ?
Ou bien doit-on recourir à une 3e ou peut-être 4e hypothèse, basées sur une sorte d’Omerta « librement » consentie entre les divers intervenants ?
Quand on se pose des questions aussi importantes que celle-ci, il est bon de ne pas s’arrêter au milieu du chemin et de prolonger le questionnement jusqu’au bout.