Oui je dois le dire pour passer des fins de mois difficiles que c’est le minimum du minimum ! Par ailleurs certains diront que le travail ne manque pas dans le batiment ! Alors pourquoi être au RMI après tout ? A ceux-là je rétorquerai que j’ai un niveau Bac + 5 de mes diverses expériences professionnelles et que je refuse d’être le jouet d’un système profondément morbide.

Tu es donc un parasite ! La société t’a payer des études et tu a décidé d’être un branleur.

C’est à cause de déchets comme toi qu’un système socialiste ne marche pas. Parce que si tu avais payé toi même tes études et devait les rembourser tu bosserai et ne nous casserait pas les couilles.

Je veux être reconnu socialement pour ce que je sais faire.

Dans ce cas la bouge ton cul de communiste ! Au RMI tu es et restera non reconnu socialement. Ou plutot vu que tu ne veut pas travailler, reconnu comme un parasite ! ! !

Quand je vois les 40 % d’augmentation des patrons en 2007 et les CA impréssionnants, les délocalisations,, je me dis finalement que je vais peut être continuer à être au RMI VOLONTAIREMENT, et par acte d’altruisme pour tout ceux qui perdus leurs jobs...

Et tout ceux qui perdront leur job à cause d’une sous merde comme toi. Et tous ceux qui payent sur leur salaire des impots pour des merdes comme toi.

La seule chose que je regrette c’est que ta caisse d’alloc ne t’ai pas chopé et sucré ton RMI. Au moins tu irait au boulot.

La solidarité oui, mais pas pour des gens qui n’en ont rien à foutre.

Quand il y aura 60 millions de RMistes, peut être que l’autre exité du bocal viendra couinner sur le pouvoir d’achat ! c’est fou mais on en vient presque à regreter Chirac (et je me rappelle pourtant de son ministre : Raffarin, qui plongeat la France dans la misère noire).

Bien continue à poster des trucs comme ca. C’est une très bonne démonstration du fait qu’il faut supprimer le RMI pour que certaines poubelles aillent bosser.

Après tout, on pourrait par exemple remonter les allocations pour les handicapés (les vrais) avec ce qu’on récupére chez les branleurs.