"Ce n’est pas parce que c’est le demi-frere de Sarkozy que Sarkozy va mettre a disposition tous ces reseaux... C’est ridicule et simpliste de croire ca..."
D’une part, Sarkozy est un nom de famille et pas une personne : Olivier s’appelle Sarkozy aussi. D’autre part le problème n’est pas que Nicolas partage ses reseaux avec Olivier mais bien qu’il en fasse naturellement partie (des-dits reseaux) ! Si vous croyez que Nicolas n’aura pas une écoute particulière face à d’éventuelles requêtes de son demi-frère.... c’est, pour le coup, d’une terrifiante naiveté.
Si vous n’étiez pas tombé dans le déni le plus épidermale et exempt de bon sens(*), vous auriez argué du fait que l’influence pourrait fonctionner dans les deux sens. A savoir que si Nicolas entendra plus facilement les arguments d’Olivier alors le contraire est vrai et l’interet pourrait se mutualiser. A titre personnel, connaissant à la foi le milieu politique et le milieu des affaires par de petites fenêtres interieures, j’ai un mauvais pressentiment au sujet de la direction que prendra l’influence majeure... Mais je suis un peu parano c’est vrai, et puis c’est pas comme si Nicolas avait proposé une aide financière étatique à l’une des entreprises les plus prospères au monde pour investire en France...
"Il est en revanche sur que le nom de Sarkozy est connu et que Carlyle le mettra en valeur pour rassurer les actionnaires. Quel est le mal a cela ?"
Ah mais que voila un magnifique argument qui tient tout seul tellement il est solide ! Poursuivez-donc votre raisonnement jusqu’au bout ... Si le nom de Sarkozy est connu et rassure les actionnaires d’un énorme Lobby ne serait-ce pas, par le plus grand des hasards, en raison de certains éléments particulièrement influents de son reseaux qui portent le même patronime... ? La boucle est bouclé et vous finissez même par en convenir malgré vous.... Si Olivier est embauché c’est parce qu’il s’appelle Sarkozy et qu’avec un frangin dans la position qu’il occupe ça ne peut être que tout benef’ pour le buisness. Voila ce qui rassure les actionnaires et inquiète les autres.
à bonne entendeur.
ndnm.
(*) Symptôme classique lorsqu’on est confronté à une déplaisante réalité qui contredit nos préjugés... le fameux "Ah non, c’est pas possible !".