Sébastien,

Je vous invite à lire les documents mis en lien sur cet article et aussi les archives du site www.asnierois.org afin de vous faire une opinion mesurée et fondée sur les faits vérifiés.

Cette union sait exactement pourquoi elle existe : pour que, par exemple, dans la commune d’Asnières, des citoyens associatifs puissent diffuser des tracts associatifs informatifs sur le Rapport de la Chambre Régionale des Comptes ou les analyses du journal Capital sur la gestion de la commune sans être sans cesse interpelés par des policiers, appelés par des personnes liées à la mairie.

Cette union vise aussi à ce que la Ville n’honore plus le représentant de la dictature iranienne comme ce fut le cas le 21 janvier 2005 en mairie, pour que les affaires publiques soient transparentes et discutées en concertation avec la population, pour que cessent censures dans la presse municipale et procès onéreux aux frais des contribuables pour défendre la politique d’un élu, pour que cesse une politique communautariste qui disloque la concorde civile et peut porter atteinte à la République.

Cette union est faite par des gens responsables, qui savent de quoi il retourne sur leur commune et qui en ont une longue expérience.

C’est pour cela que, par delà une réaction légitime parfois, mais ici sans utilité, je vous propose de lire les documents mis en ligne pour vous forger une opinion, même partielle, mais vraie, sur les pratiques en cours à Asnières contre la démocratie et contre les libertés républicaines.

Cela vous permettra de mieux comprendre les faits et de mettre ceux-ci en perspective sur leur fond.

Car, à Asnières, tous les citoyens de toutes opinions, informés un minimum de la réalité, veulent que cesse le "système Aeschlimann" qui n’est ni de droite, ni de gauche, ni du centre, mais seulement et exclusivement...aeschlimanniste !

Et la démocratie bafoueé à Asnières, tous ces citoyens en ont été victimes.

Leur unité est donc la clé du rétablissment d’une vie communale sereine, démocratique et transparente, dévouée au bien public et non aux mains d’un clan familial, comme le note le dossier de l’Express cité dans l’article.

Bien cordialement,