CASA9A,
Laissons de côté les veaux, moutons et autres animaux, y compris les ânes qui sont les premiers supports historiques du développement de la ville d’Asnièes.
Les documents qui ont été publiés avec cet article, et jamais contredits par Manuel Aeschlimann, qui y a perdu le peu de crédibilité publique qui lui restait dans les médias, notamment du fait de son refus de publication du Rapport de la Chambre Régionale des Comptes sur sa gestion depuis 2001, sont d’une clarté limpide ; Asnières a une lumière roufe allumée pour sa gestion.
Alors, ce fait constaté, deux options s’offrent :
-soit on fait une vraie rupture avec la gestion de Manuel Aeschlimann qui n’apporte que des difficultés pour les citoyens et moins de services avec moins de qualité, mais avec des impôts en hausse rapide et une dette qui explose ;
-soit on continue à foncer dans le mur avec Manuel Aeschlimann et on attend que le Préfet mette la ville sous tutelle.
Là et uniquement là est le débat citoyen.
A Asnières, et sur la gestion locale, les notions de droite et gauche ne sont pas essentielles et significatices.
Ce qui compte, ce sont les moyens, les pratiques et les méthodes.
Manuel Aeschlimann a échoué sur tous les plans. Il refuse de publier le bilan qu’en tire la Chambre Régionale des Comptes. C’est la preuve que ce bilan est un désastre, sinon il s’en serait vanté.
Conclusion imparable : tous les citoyens conscients, informés, raisonnables, aimant sincèrement leur ville et leurs revenus propres voteront pour la liste de rassemblement unitaire afin de changer le cours des choses et de sauver Asnières du désastre prévisible, qu’ils soient de droite, de gauche ou du centre.
Soyez assuré que, pour l’heure, ce qui revient des discussions passionnantes avec les citoyens à Asnières, c’est un cri d’espoir qui se résume à cela : il faut changer de maire.
Et cela fait autour des citoyens en campagne pour la démocratie et la République une quasi-unanimité.
Il semble en effet que seul Manuel Aeschlimann s’illusionne encore sur la portée réduite de ses arguments gauche-droite-centre.
Répétons le clairement : Manuel Aeschliman n’est pas de droite : il défend son siège de manière désespérée, mais il n’a pas défendu son bilan.
C’est sur ce bilan caché, mais que la liste républicaine dévoile à tous, que les Asniérois se préparent à voter pour la liste de grand rassemblement en nombre croissant, sans avoir peur des agitations du maire et de ses gesticulations car ils savent qu’il est simplement...aeschlimanniste !
Bien cordialement,