Merci pour cet article salutaire. Au risque de paraître hors de propos, je me poserais la question de l’apparition des outils censés libérer l’homme des tâches astreignantes et qui, en fait, ont contribué à une plus grande servitude. Le phénomène n’est pas nouveau et a été maintes fois commenté depuis la révolution industrielle.
Le surgissement massif de l’informatique, en simplifiant de nombreuses tâches, a supprimé des emplois moyennement qualifiés et induit la création de postes moins valorisés (et valorisants). La surveillance électronique des employés est devenue inacceptable. L’apparition de nouvelles générations de techniciens-informaticiens se double d’une course sans fin après les mutations technologiques accompagnée d’une insécurité de ceux qui rament pour se maintenir à flot.
Par contre, l’imagerie électronique (Nuclear Magnetic Resonance NMR), les immenses progrès en avionique, les machines à programmation numérique, pour ne citer que quelques percées spectaculaires, ont permis d’améliorer la fiabilité des matériels et d’abaisser les coûts de production (dans certains cas).
Donc, le numérique, oui, mais pas n’importe comment, et c’est là que les réglementations du travail et les habitudes ont les plus grandes peines à suivre. La déflerlante numérique a causé, et cause encore bien des dégâts sociaux, ce dont se réjouit l’industrie pharmaceutique.
Progrès ou régression ?
PS. Merci pour les sites de gestion de tâches des choses quotidiennes, mais mon crayon et un bon bloc-notes me satisfont amplement. Toutefois j’apprécie l’Internet pour des informations diverses... et l’accèe à ce site.
Cordialement.