Au vu de cette anecdote, les personnes, en particulier celles privées de motricité, souhaitant une assistance pour leur suicide n’ont en fait aucun intérêt à médiatiser leur demande...avez vous écrit.
Le fait que cette affaire soit médiatisée montre que la patiente s’est adressé à son médecin traitant, et à son entourage. Donc, l’un ou l’autre s’est chargé de la jeter en pature sur la voie publique, jusqu’aux médias eux même, friands de ce genre de curiosité perverse. J’espère que cette histoire finira de façon exemplaire afin de ne pas souiller la mémoire de cette troublante femme.
Autant je comprend que de telles décisions puissent se prendre en comité restreint, sans que ne soit besoin de nouvelles lois ( il y en a déjà trop ) mais autant je ne comprend pas l’acharnement à maintenir en vie , parfois un an durant, des patients en souffrance, vu le coût exorbitant des soins hospitaliers.
Mais, également, les structures familiales éclatées laissent sous la responsabilité de l’institution médicale des patients que l’on ne débranche qu’après leur avoir suçé leur patrimoine immobilier. Une réelle transparence de ces comptes mettraient à jour des histoire tout aussi palpitantes pour la presse à scandale...Si celle çi ne se contentait pas de simple voyeurisme !
Avant que la structure famliale ne se dégrade ainsi, les anciens préféraient nettement mourir chez eux, entourés de leur famille, avec ou sans traitement létal, dans la dignité et la cérémonie qui devrait s’imposer dans ces douloureux moments de la vie de tout un chacun.