Le marché trouvera la solution : voilà le pensum qui gouverne le monde Wasp.
Mais les choses peuvent changer.
Why was this allowed to happen (the financial crisis) ? At a deep level, I believe that the problem was ideological : policy makers, committed to the view that the market is always right, simply ignored the warning signs. We know, in particular, that Alan Greenspan brushed aside warnings from Edward Gramlich, who was a member of the Federal Reserve Board, about a potential subprime crisis.
And free-market orthodoxy dies hard. Just a few weeks ago Henry Paulson, the Treasury secretary, admitted to Fortune magazine that financial innovation got ahead of regulation — but added, “I don’t think we’d want it the other way around.” Is that your final answer, Mr. Secretary ?
http://www.nytimes.com/2007/12/03/opinion/03krugman.html
Espérons qu’avec cette crise, les US comprendront que le marché ne peut pas toujours tout solutionner.
Vendre du crédit à des gens qui n’ont pas les moyens de se payer la maison de leur rêve ne fait pas partie de la libre économie. Chez nous, on appelle cela faire du logement social, et pour cela il faut des instruments spécialisés. Des instruments financés par des organisations qui acceptent de ne pas gagner autant que le marché « libre » le permettrait. En général, ce sont les états qui se chargent de financer le logement social, pas le Meridian Capital Group, ni le Shenkman Capital Management, ni Newmark Knight Frank