Quand on parle de libéralisme, je pense souvent a 1789 ou il a fallu guilletoner quelques récalcitrants a la libre circulation des idées et contre l’abrogation des privilèges. Aujourd’hui ceux-la même qui étaient les premiers à constituer des charrettes de condamnées se refusent à voir qu’ils sont devenus des aristocrates. On ne jauge plus la valeur intrinsèque de l’homme, on soupèse ses oripeaux.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates à la frontière,
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates on les pendra !
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates à la frontière.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira !
Les aristocrates on les pendra.
Si on n’ les pend pas
On les rompra
Si on n’ les rompt pas
On les brûlera.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Nous n’avions plus ni corporatistes, ni subventions,
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
L’égalité partout régnera.
Le protectionniste le suivra,
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Et leur infernale clique
Au diable s’envolera.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Les protectionnistes à la frontière ;
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira,
Les protectionnistes on les pendra ; Et quand on les aura tous pendus,
On leur fichera la pelle au c...
