Léon, vous êtes vraiment un cas qui mériterait analyse !
Une fois de plus, où avez-vous vu que je ne considère pas ce que le contribuable a en échange des impôts qu’il paie ? Où avez-vous vu que je soutiens que payer des cotisations d’assurance maladie est de l’esclavage ?
Je n’ai pas écrit être un libertaire déniant la nécessité d’un état. Je vous réplique seulement ne pas considérer les autres comme n’étant que des imbéciles, contrairement à vous ; qu’il n’y a pas à les biberonner, à les torcher et à les langer ; qu’ils sont fort capables de se gérer eux-mêmes, et qu’ils le feraient mieux qu’un état envahissant allant au-delà de ses fonctions naturelles ; que démesuré en conséquence le gérer correctement est une impossibilité absolue. à propos de ce que j’ai en échange des impôts j’explique, d’abord qu’il y a des choses dont je préférerais m’occuper moi-même, ensuite que je n’en ai pas pour mon argent, enfin que ce que j’ai en échange, ce ne sont ni mes enfants, ni mes petits enfants, ni leur propres enfants qui ont à le payer.
Vous me confirmez que vous ne compreniez rien à la matière que vous enseigniez, que vous ne saviez même pas lire votre bulletin de paie et vos feuilles d’impôt, puisque vous radotiez à vos élèves cette imposture du taux de 54% de dépenses publiques, et que vous n’avez pas été capable de me dire où et en quoi ma démonstration des doubles emplois dans le calcul du PIB et donc du taux réels de dépenses publiques et de prélèvements obligatoires était erronée.
Et je vois votre réplique à Bulgroz : votre métier était d’enseigner l’économie, mais vous n’avez jamais perçu de salaire provenant des finances publiques ? Vous travailliez au noir ? Vous étiez précepteur privé payé par les parents des élèves ? Vous ignorez que même les enseignants des établissements privés sont payés par l’État ? Il y a bien sûr encore d’autres situations possibles, mais vraiment pas courantes.
Ah oui, s’il n’y avait que des gens comme vous sur ce site, j’y perdrais mon temps, mieux vaudrait m’occuper de mon jardin.