bonjour et merci monsieur robert,
je vais sans doute acheter votre livre, seul manière de vous soutenir a ma portée, malgré mon budget rmi, ce qui ne laisse pas moins le sentiment que vous prenez les risques pour nous informer.
On salut toujours le courage des reporter de guerres, mais a bien y regarder, ils s’exposent au danger sur l’échelle de leur expositions assez courte à la violence du combat, avant de retourner a la quiètude et profiter de leur reconnaissance professionnel.
Dans votre cas, vous êtes devenu un reporter de guerre économique, où l’exposition à la violence des combats et bien plus longue et la taille de la zone des conflits bien moins limité géographiquement, au point de ne vous laisser guère de moyens pour retourner à la quiètude, et surtout vous prive de la reconnaissance professionnel.
Vous êtes pour moi un précurseur, quelqu’un qui par son exemplarité et le particularisme de sa situation sert a la prise de conscience,
mais aussi à la réflexion sur le comment on doit institutionnalisé le reportage de guerre économique, comment vous protéger par la loi, comment on doit créer votre case dans le monde journalistique, pour une citoyenneté moderne informée de la réalité des conflits qui la concerne,
au lieu de vous voir souffrir d’être rejeté par des médias tenue par la publicité, et qui souvent participent activement eux même a la guerre économique. Schnederman n’est déja plus dans ma mémoire qu’un homme dont je me souviens le nom parce qu’il a participé à la négation de la qualité de votre travail et la pertinence de votre engagement.
merci, monsieur robert
amicalement, barbouse, dont la seule question est : Avez vous envisager de générer votre propre organisme d’information, votre propre équipe, pour dévelloper en profondeur d’autre sujets connexes a clearstream ?