« Il n’y a pas de croyance sans doute (car en l’absence de doutes, nous ne croyons pas, nous savons, ce qui est bien différent), par contre (sic) donc la certitude et le doute s’excluent, par définition. »
Vous n’êtes pas le premier à faire cette distinction sémantique qui fonde ici votre fausse démonstration disant tout et son contraire.
Il y a bien croyance sans doute, l’extrême de cette position est le fondamentalisme.
Et plus généralement il y a des gens qui vivent en parfait accord avec leurs traditions, sans qu’aucun « doute » permette à leur « croyance » d’exister.
Comment certitude et doute pourraient-ils s’exclure ? Nous n’aurions que des athées ou des fondamentalistes dès lors.
« C’est pour cela que je parlais de doute dogmatique, car il y a dans le doute moderne quelque chose de dogmatique et de systématique qui réfute la possibilité d’un accés (sic) à la vérité. »
C’est bien possible mais c’est très malaisé d’appliquer une réflexion spirituelle aux théories sur ce qui est arrivé le 11 septembre, car si vous n’aviez pas sauté la case « m’informer à plusieurs sources » vous n’y verriez pas une raison de craindre « la possibilité d’un accès à la vérité », il y a bel et bien une vérité historique et de moins en moins de personnes croient à la vérité officielle de Bush.