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Commentaire de gonzague

sur Une violente collision dans « Le Monde » entre un philosophe et « la théorie du complot » fait une victime : le doute méthodique


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Gonzague gonzague 3 avril 2008 12:24

Gilles, vous avez un cerveau ?

"Mais ce qui différencie le christianisme de l’islam apparaît : il est toujours possible de retourner les valeurs évangéliques, la douce personne de Jésus contre les dérives de l’Église. Aucune des fautes de l’Église ne plonge ses racines dans l’Évangile. Jésus est non-violent."

Et après, pour démonter cette affirmation, vous me citez soit l’ancien Testament, soit les lettres des apôtres...Jamais les évangiles. Il y a une différence, vous savez, entre "Nouveau Testament" et Evangiles". Quand Redeker parle des Evangiles, il parle pas des lettres de St Paul ou de St Pierre, écrites après, mais bien....des évangiles.

On peut ne pas être d’accord avec ce que les apôtres ont raconté après la mort de Jésus, mais si l’on lit les évangiles, on remarque que Jésus est effectivement non violent. (sauf au temple où il se met en colère contre les marchands, mais même là, il gueule beaucoup, renverse quelques cagettes, mais ca va pas plus loin.

 


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