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Commentaire de gonzague

sur Une violente collision dans « Le Monde » entre un philosophe et « la théorie du complot » fait une victime : le doute méthodique


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Gonzague gonzague 3 avril 2008 14:41

Voilà, Spoukimouk, là où vous vous trompez. Le 11 septembre n’est pas complexe. Et justement, la condition sine qua non à la réussite d’un tel plan est son extrême simplicité. 19 personnes réalisent des attentats d’une envergure monumental en détournant des avions qu’ils envoient gaiement dans des tours en verre et un bâtiment pentagonal en béton. C’est tout. Si ca avait plus compliqué que cela, s’il y avait eu davantage de détails, le risque de se faire repérer aurait été bien trop grand. Cette dernière réflexion vaut aussi pour la théorie du complot qui sous-entend des complices partout. A tous les coups, d’ailleurs, et pour éviter de se faire repérer, très peu d’argent a été utilisé dans la préparation de ces charmantes attaques. C’est le billet Boston Los Angeles via NY qui a dû coûter le plus cher.

EN ce qui concerne le temps de réaction de la NORAD : Combien de fois avait-elle été confrontée à ce genre de détournements suicides ? Je vous renvoie à mon commentaire plus haut : « Dans les décennies précédant le 11 septembre, le NORAD a intercepté seulement un avion civil au-dessus de l’Amérique du Nord : le jet privé du golfeur Payne Stewart, en octobre 1999. Avec les passagers et l’équipage inconscients du fait de la décompression de la cabine, le contact radio a été perdu avec l’avion, mais le contact par transpondeur a été maintenu jusqu’au crash. Mais, même ainsi, il a fallu 1 heure et 22 minutes à un F16 pour atteindre l’avion ciblé » 

Je vous laisse un lien pour la route. http://loumintope.blog.lemonde.fr/2008/04/03/mauvaise-lecture-de-l%e2%80%99histoire/


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